Réactions mitigées au plan de Québec
LE JOURNAL | Syndicats, parents, transporteurs et opposition se questionnent et s’inquiètent de la mise en oeuvre du plan de retour en classe. «arriver
Comment va-t-on
à un ratio de
15 élèves par classe ?
Quels enseignants supplémentaires devront être déployés ? Quels locaux seront utilisés s’il y a déjà un manque d’espace ? »
– Véronique Hivon, Parti québécois «être
Les profs vont y retourner et équipés. [...] On va dans un supermarché et les caissières sont protégées par une feuille de plexiglas, pis les profs n’auraient pas besoin de matériel de protection ? »
– Sylvain Mallette, Fédération autonome des enseignants
«plan
Nous avions demandé un clair et exhaustif : on en est loin ! [...] Il y a beaucoup trop de détails non abordés ou pris en compte pour que nous soyons confortables. »
– Regroupement des comités de parents des commissions scolaires de Laval et de Montréal «produits
Il y en a certains qui ont testé des en Plexiglas pour voir comment ça pourrait s’installer dans les autobus. La vérité, c’est que nous sommes en attente de directives claires. » – Luc Lafrance, Fédération des transporteurs par autobus «de
Il y a eu plus
questions soulevées par la population que de réponses reçues. Pour les parents, c’est difficile de déterminer s’ils retournent leurs enfants à l’école. »
– Marwah Rizqy, Parti libéral du Québec «quelque
Il fallait faire
chose. On ne peut pas laisser les enfants dans un “no man’s land” pendant deux ans. Il y a des enfants qui mangent plus à l’école qu’à la maison. »
– Hélène Bourdages, Association montréalaise des directions d’établissement scolaire