Le Journal de Quebec - Weekend

QUESTIONS TÉLÉ À KIM LÉVESQUE-LIZOTTE

- FRANCIS BOLDUC

La série Les Simone, fruit de l’imaginatio­n de Kim Lévesque-Lizotte, en est à sa deuxième saison au petit écran. Elle met en scène quatre jeunes femmes dans leur quotidien, avec leurs hauts et leurs bas, les mercredis à 21 h 30, à Ici Radio-Canada Télé.

Voici ce que l’auteure a répondu à nos questions sur la télévision.

La télésérie ou le téléroman qui vous a le plus marquée ?

À part Les Simone... (rires), j’ai capoté sur la série Feux. Je l’ai beaucoup aimée, je l’ai adorée. J’en rêvais la nuit parce que je n’arrêtais pas de me demander ce qui allait se passer et comment ça allait se terminer. En plus, j’avais un malin plaisir à essayer de deviner la fin. J’avais plein de théories et j’en parlais avec mes amis.

Votre plaisir coupable ?

Pendant longtemps, ç’a été America’s

Next Top Model, une téléréalit­é avec Tyra Banks. Je capotais là-dessus. J’ai regardé tous les épisodes, même si ça ne sert à rien. Elle montre des mannequins qu’on ne revoit pas après, mais j’ai adoré ça. Cet automne, c’est Occupation double.

La série étrangère dans laquelle vous auriez aimé jouer ?

Dans Friends ou dans Seinfeld ; ce sont mes deux séries-cultes.

La dernière série étrangère que vous avez regardée ?

La Servante écarlate, avec Elisabeth Moss. C’est la meilleure série que j’ai vue de ma vie. Elle a été créée à partir d’un roman de Margaret Atwood.

Les émissions qui ont marqué votre enfance ?

Passe-Partout, Le Club des 100 watts, Rock et Belles Oreilles... Il y en a tellement !

Si on vous donnait carte blanche pour créer une nouvelle émission, que feriez-vous et quel rôle vous donneriez-vous ?

Un gros, gros, drame, et je me donnerais le rôle d’une superhéroï­ne avec des pouvoirs magiques, et j’aurais plein de princes charmants. Je pense que ça serait un conte de fées dramatique.

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