La Ville de Québec finance cinq projets cinéma et télé
Québécomm pourra aller de l’avant avec sa série True Lov
La série télévisée True Lov, de Québecomm, et le documentaire sur les commotions cérébrales que compte tourner la productrice Nancy Florence Savard font partie d’un groupe de cinq projets destinés au cinéma ou à la télé qui ont obtenu un coup de pouce financier de la Ville de Québec.
Par le biais de sa Mesure d’aide au démarrage de productions cinématograph iqueset télévisu el les , le Bureau des gr a nds événements a aussi financé le développement dela série télé d’ animation Les folles aventures du Pet it c haperon rouge, de Fr i ma Studio.
Un projet de documentaire sur l’ex-chef d u Pa rt i libéral, GeorgesÉmile Lapalme, et un long-métrage de fiction pro- duit Edgar Fritz ont aussi obtenu une portion des 113 000 $ distribués par la Ville.
Québécomm mis eénormément su r Tr ue Lov, un projet de 13 é missions conçu par l’humor is te Cath leen Roul eauetqui pourrait mettre en ve d e tt e Anthony Kavanagh. El lesou -haite en faire le premier produit sous sa marque Comediha!
«L’aide de la Ville va nous permettre de poursuivre l’écriture des épisodes 4 à 13. Nous sommes actuel l e ment avec RadioCanada et la Ville pour les trois premiers», indique le patron de Québécomm, Sylvain Parent-bédard, qui e sp èr e vendre le concept dans plusieurs pays.
«Nous ne savons pa s e nc or e q uand nous allons le tourner, mais j’aimerais beaucoup me présenter au MIPTV de 2017 avec quelque chose à montrer», aj o ut e le p at ro n de Québécomm. Pour sa part, Nancy Florence S ava r d souhaite amorcer au printe mps prochain le tournage d e Pour garder toute sa tête: le choc des commotions cérébrales, un do c u ment ai r e qu i mélangeratémo ig n ag esde médec ins , d’athlètes et séquences d’animation en 3D.
SÉQUELLES
«On en parle beaucoup dans les médias, mais les impacts à long terme des commotions sont souvent sous-évalués. On remet parfois les jeunes au jeu rapidement et les séquelles apparaissent 10 ou 15 ans plus tard. Avecl’aidede l’ animation, on ve ut montrer comment le cerveau subit les chocsetce qu’il reste comme traces si les lésions ne sont pas bien traitées», explique Mme Savard.
En parallèle, cettedernière amorcera la semaine prochaine le tournage desontroisiè me long-métrage d’animation, Mission Yéti.