QUI EST À RISQUE?
Les jeunes de moins de 14 ans sont particulièrement à risque parce que leur cerveau est plus fragile. Les enfants récupèrent d’ailleurs moins facilement que les adultes.
Lors d’une saison sportive, un jeune sur quatre serait victime d’une commotion cérébrale, ce qui représente une centaine de cas au Québec.
Chaque cas de commotion cérébrale est différent. La durée de la convalescence, qui va du repos complet jusqu’à une reprise normale des activités, varie d’une personne à l’autre.
Commotions cérébrales chez les 18 ans et moins, selon les consultations à l’institut de réadaptation en déficience physique de Québec (IRDPQ)
50 % causées par des coups subis en pratiquant un sport
De 30 % à 35 % causées par des chutes
Parmi les enfants qui subissent une commotion cérébrale
50 % ont encore des symptômes après un mois
10 % ont encore des symptômes après trois mois