Le Festival d’été rayonne dans le monde
L’événement a obtenu une couverture médiatique sans précédent pour la cinquantième édition
Le Festival d’été de Québec a eu des échos dans une vingtaine de pays, dont l’inde, la Suisse, la France, l’italie, l’asie et le Moyen-orient. Une couverture internationale qui va bien au-delà des concerts donnés par les Who, Metallica, Gorillaz et les Backstreet Boys.
La manifestation culturelle a même dominé l’actualité québécoise durant la semaine du 10 au 16 juillet, surpassant l’entente intervenue entre le gouvernement fédéral et Omar Khadr, ainsi que la hausse du taux directeur par la Banque du Canada.
Pour Jean-françois Dumas, président d’influence Communication, qui surveille et analyse les médias au Québec, au Canada et dans 160 pays à travers le monde, la 50e édition du Festival d’été semble avoir obtenu un rayonnement sans précédent.
« L’événement a aussi eu des échos à l’international avec plus de 200 articles et reportages publiés. On a répertorié des textes publiés en Inde, en Suisse, en France, en Italie, en Asie et au MoyenOrient », a énuméré Jean-françois Dumas, lors d’un entretien.
Lundi, le magazine français Les Inrocks a proclamé, pour une deuxième année consécutive, l’événement comme étant le meilleur festival au monde.
DES ANNÉES D’EFFORTS
Cette couverture internationale, précise le président d’influence Communication, va bien au-delà de l’aspect spectacle et aborde le caractère unique et innovateur du Festival d’été de Québec.
« Les journalistes en profitent pour parler aussi de l’offre en restauration, du Château Frontenac et d’autres choses. Ce ne sont pas tous les événements qui obtiennent ce genre de rayonnement collatéral. On parle beaucoup, par exemple, à l’étranger, du Festival de films du monde de Montréal, mais on s’attarde uniquement à l’aspect cinéma », a-t-il indiqué, faisant remarquer, sans chiffres à l’appui, que cette 50e édition pourrait avoir été celle qui a le plus rayonné de son histoire en termes de couverture médiatique.
Sans avoir toutes les données en main, Luci Tremblay, directrice des communications du Festival d’été, abonde dans le même sens.
« On n’a pas encore vu tous les articles et il y a en a qui vont être publiés au cours des prochains jours et des prochaines semaines », citant ceux qui doivent être écrits par des journalistes du RoyaumeUni et du Mexique.
La 50e édition est celle qui a accueilli le plus grand nombre de journalistes internationaux.
« C’est le résultat de plusieurs années d’efforts et ça commence à rapporter. On le voit et on réalise le chemin parcouru », ajoutant que l’organisation était très touchée par le reportage des Inrocks, en raison de la crédibilité de cette publication.