Cam Newton encore sur le carreau
AGENCE QMI | Le quart-arrière des Panthers de la Caroline Cam Newton manquera un deuxième match préparatoire d’affilée lorsque les siens affronteront les Titans du Tennessee, aujourd’hui.
C’est ce qu’a rapporté le réseau ESPN, hier après-midi.
Newton se remet toujours d’une opération à l’épaule subie pendant la saison morte. Il y a plus d’une semaine, son entraîneur-chef, Ron Rivera, s’était dit optimiste quant à la possibilité de le voir en action durant le calendrier préparatoire.
Le numéro 1 a totalisé 3509 verges par la voie aérienne en 2016, lançant 19 passes de touché et commettant 14 interceptions. En son absence, Derek Anderson, Joe Webb et Garrett Gilbert devraient travailler au poste de pivot.
DANNY SHELTON À L’ÉCART
Par ailleurs, le joueur de ligne défensive des Browns de Cleveland Danny Shelton ratera de trois à six semaines d’activités en raison d’une blessure au genou subie pendant la séance d’entraînement de mercredi.
Le réseau ESPN a rapporté jeudi que l’athlète de 23 ans se soumettra à une évaluation médicale hebdomadaire. Par conséquent, Jamie Meder devrait assumer un rôle plus important au sein du groupe de plaqueurs des Browns, qui amorceront la campagne en accueillant les Steelers de Pittsburgh le 10 septembre.
À sa deuxième saison dans la NFL, en 2016, Shelton a stoppé l’adversaire 59 fois, réalisant 1,5 sac du quart.
HARRISON CLARIFIE SON OPINION
Visiblement mal à l’aise d’avoir été mal cité à deux reprises, le secondeur des Steelers de Pittsburgh James Harrison a livré son opinion quant aux joueurs de la NFL choisissant de ne pas se lever pendant l’hymne national des États-unis.
Le vétéran a accordé une entrevue au magazine Sports Illustrated, jeudi, afin de rectifier certaines déclarations diffusées dans les médias sociaux depuis un an. Récemment, Jeremy Roenick a transmis sur Twitter une capture d’écran montrant un message apparemment écrit par Harrison disant que « les membres de son équipe assis durant l’hymne national devraient finir sur un fauteuil roulant ».
Or, le principal intéressé a nié avoir rédigé cela et a répliqué de façon plus conservatrice.
« C’est le choix de chaque individu. S’il sent qu’il s’agit de quelque chose devant être réalisé, c’est son droit, a-t-il indiqué. Maintenant, une phrase envoyée sur les médias sociaux n’est pas nécessairement vraie. S’il fallait croire que tout ce qu’on entend et voit est véridique, le monde entier serait dans le trouble. Et disons que nous sommes dans une situation déjà précaire. »
En 2016, Harrison avait été faussement associé à une image manipulée par le biais du logiciel Photoshop. Celle-ci comprenait une déclaration similaire à celle transmise par Roenick, qui a d’ailleurs vu celle-ci réacheminée plus de 3300 fois sur Twitter.