Le Périscope relocalise trois autres pièces
Les travaux de mise aux normes ne sont pas terminés
Le Théâtre Périscope se voit dans l’obligation de relocaliser trois autres spectacles en raison des travaux qui se poursuivent dans l’édifice du quartier Montcalm.
Les travaux de mise aux normes et d’amélioration entrepris le printemps dernier, après la fin de la saison théâtrale 2016-2017, s’avèrent plus longs que prévu en raison d’un problème structural découvert dans la toiture.
Le spectacle Notre bibliothèque, qui devait lancer la nouvelle saison du Périscope, a été présenté vendredi et samedi derniers à la salle Multi du pavillon central du Musée national des beaux-arts du Québec.
NOUVELLES SALLES
La pièce Hôtel-dieu, qui devait être à l’affiche à partir du 10 octobre au Périscope, sera présentée du 16 janvier au 3 février au Théâtre Les Gros Becs. La création met en scène des gens qui ne sont pas comédiens et qui fréquentent la souffrance au quotidien.
Des arbres, qui aborde les questions entourant la décision de mettre un enfant au monde, dans un monde d’incertitudes, mettant en vedette Sophie Cadieux et Maxime Denommée, conservera les mêmes dates de diffusion, du 31 octobre au 11 novembre, mais sera relocalisée au Théâtre du Conservatoire d’art dramatique de Québec.
OUVERTURE EN FÉVRIER
La pièce Titus, qui mettra en vedette 10 femmes dans des rôles masculins shakespeariens, sera présentée du 17 novembre au 2 décembre, au Laboratoire des nouvelles technologies de l’image, du son et de l a scène de l’université Laval, situé au Pavillon Louis-jacques-casault.
Baby-sitter, qui devait être à l’affiche en janvier, a été déplacée à la saison 2018-2019 et sera présentée du 13 au 24 novembre 2018.
Le Périscope, qui révélera sous peu toutes les informations concernant la relocalisation du Festival du Jamais Lu, qui doit avoir lieu les 7, 8 et 9 décembre, s’attend a retrouver ses locaux le 6 février pour la présentation de la pièce Closer.
Le Théâtre invite les spectateurs à communiquer avec la billetterie s’ils constatent que les relocalisations ou un changement de date de représentation occasionnent des conflits d’horaire, ou pour tout autre problème nécessitant un remboursement.