Un hiver comme dans le temps!
Bombe météo, froid polaire, hôpitaux qui débordent de patients grippés, traversiers pris dans la glace trop épaisse, pénurie de batteries de voiture… Bref, un hiver comme dans le bon vieux temps!
Si vous avez « osé », ne serait-ce qu’une seule seconde, dans votre tête, remettre en question la théorie incontestable des changements climatiques, j’ai de la misère à vous blâmer.
Après tout, depuis des années, les groupes environnementaux n’hésitent pas à confondre volontairement météo et climat pour entretenir leur discours climato-alarmiste.
Pas plus tard qu’en 2011, la Fondation David Suzuki nous mettait en garde contre la « fragilité de nos hivers » en raison de quelques épisodes de redoux que nous avions connus à l’époque.
Le palais de Bonhomme Carnaval, les sculptures sur glace et les patinoires extérieures étaient alors menacées par ce qu’on appelait encore, dans ce tempslà, le « réchauffement climatique ».
PIRE QUE LA RELIGION
Mais sachez que cela fait partie des sujets desquels il est maintenant impossible de discuter. C’est devenu pire que la religion.
Et sachez aussi que l’industrie de la peur environnementale a su adapter son discours pour en assurer la crédibilité.
Samedi, Le Devoir publiait un article avec toutes les explications sur la vague de froid que nous venons de traverser. En gros, c’est parce que la planète se réchauffe qu’il fait aussi « frette ».
Et il faut maintenant parler de « changements climatiques ».
DÉMAGOGIE
Ce qu’on nous disait sur le « réchauffement », en nous prédisant la fin des hivers comme on les a toujours connus, n’était donc pas tout à fait exact.
Tout cela ne prouve pas l’absence de changements climatiques, mais cela prouve que certains groupes se servent de la science à des fins politiques pour faire du militantisme à la sauce anti-pétrole, donc anti-capitaliste.
On appelle ça de la démagogie, une démagogie aussi pire que celle des climato-sceptiques enragés à la Donald Trump.