L’intimidation et moi
Ça fait longtemps que je vous lis et je sais que le sujet en titre, vous en traitez souvent. Mais avez-vous remarqué que même si on en parle, rien ne change, malgré toutes les belles théories psychologiques et pédagogiques modernes ? Les victimes doivent être traitées par les psychologues, mais les intimidateurs, on n’en entend pas parler.
Quand j’étais ado, j’étais victime moi aussi. Mais j’ai vite réglé mon problème simplement et rapidement, en ripostant par un bon coup de poing là où ça fait mal, à mon intimidateur. Ç’a été fini. Il voulait même devenir mon ami ensuite. Alors qu’on cesse de niaiser avec la puck et qu’on montre aux victimes à se défendre physiquement pour se faire respecter. Et ne craignez pas l’escalade de violence qui est en fait la théorie des fluets de la bien-pensance, trop mauviettes pour avoir les deux pieds sur terre. Un jeune qui se tient debout attirera le respect de ses congénères, donc de ses harceleurs.
Joseph Rivard
Riposter comme vous l’avez fait est le propre de quelqu’un qui a confiance en lui, et avoir confiance en soi n’est malheureusement pas donné à tous les enfants. Mais je serais partisane de l’obligation pour tous les jeunes, filles comme garçons, de suivre des cours d’autodéfense qui améliorent la discipline de vie et assurent un minimum de confiance en soi.