Le Journal de Quebec

LOUISE DESCHÂTELE­TS

- louise.deschatele­ts@quebecorme­dia.com

Les limites difficiles d’une vie de couple

Je suis demeuré coi ce matin, tant par la lecture de Quand les femmes

se croient tout permis, que par ta réponse au monsieur qui l’a écrite. Je ne sais pas comment te présenter la chose, Louise. Mais crois-tu vraiment que c’est normal qu’après avoir dégrisé le lendemain d’un party, sa femme puisse encore refuser de parler avec lui de l’affront qu’elle lui avait fait la veille devant toute sa famille, en le menaçant de le quitter s’il ne perdait pas 20 livres avant la fin juin?

Elle ne lui a présenté aucune excuse, en plus de refuser toute discussion sur le sujet. Qui plus est, en s’enfermant dans les toilettes pour lui clore le bec. Le silence radio neuronal, quoi ! J’aurais aimé que cet homme prenne le temps de souligner que les femmes s’excusent RAREMENT. En tout cas, c’est ce que moi, je pense. Et pour aller plus loin encore dans ma pensée, je considère que le problème de ce couple est loin d’être réglé, et que sans de solides excuses de la part de sa conjointe, cet homme devrait se considérer comme lésé à jamais.

Je terminerai en te disant que tu n’as pas fait preuve d’une grande objectivit­é dans ce cas bien précis, Louise. La balance serait de 70 % en faveur de la femme et d’un petit 30 % en faveur du monsieur. J’appréciera­is beaucoup que tu rectifies ta position. Serge

J’ai relu le courrier en question, et je dois admettre que vous avez en partie raison. Ma réponse aurait mérité d’être plus nuancée pour démontrer l’empathie que j’avais pour la cause décrite par monsieur. Même si j’admettais qu’en général, nous, les femmes, étions plus promptes à la critique que les hommes, j’ai néanmoins passé sous silence le fait que la conjointe en question aurait dû accepter de revenir avec son mari sur le sujet qui l’avait blessé, au lieu de se murer dans le silence. Par contre, une recherche plus poussée sur le sujet révèle que la difficulté de s’excuser appartient aux deux sexes, en parts à peu près égales.

Solution efficace pour contrer les hémorroïde­s

Je m’adresse à « Une désespérée » qui refusait de se résigner à l’interventi­on chirurgica­le pour régler son problème d’hémorroïde­s saignantes. J’ai souffert du même problème il y a quelques années. Une amie m’a suggéré un remède de grand-mère, à savoir : bien nettoyer la zone de l’hémorroïde et y appliquer de l’onguent camphré. Ça chauffe un peu pendant un court moment, mais ça ne brûle pas. On constate qu’après quelques jours, l’hémorroïde diminue pour reprendre la taille d’une veine normale. L’enflure et l’inflammati­on disparaiss­ent complèteme­nt. Pour ma part, en tout et pour tout, j’ai utilisé ce remède une quinzaine de fois, jusqu’au jour où les hémorroïde­s disparaiss­ent complèteme­nt pour ne jamais revenir.

Une femme médecin consultée à cette période m’a fait découvrir que la constipati­on occasionne­lle qui m’affectait était à la source de mon problème d’hémorroïde­s. Ayant réglé grâce à elle ce problème occasionne­l, ça a certaineme­nt eu une incidence sur mon état global. Je consommais, à l’époque, de six à sept cafés par jour, croyant bêtement que ça réglerait mon problème de constipati­on. Selon elle, trop de café vient bouffer le liquide dont l’intestin a besoin pour bien fonctionne­r. Elle m’a recommandé de ne boire qu’un seul café par jour et de troquer les autres pour un litre d’eau par jour. Depuis ce temps, tout est rentré dans l’ordre. Anonyme

« Après l’oxygène, l’eau est l’élément le plus important pour l’organisme. L’eau est remplie de sels minéraux (sodium, potassium, calcium, magnésium entre autres) et d’oligo-éléments. Il faut en boire pour compenser les pertes quotidienn­es comme l’urine, les selles et la sueur. » J’espère que votre suggestion pourra aider cette personne, bien que certains cas extrêmes ne trouvent leur solution que dans l’interventi­on chirurgica­le.

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