Le Journal de Quebec

Nous avons choisi Lévis parce que...

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ANNE-MARIE POIRIER

« Lorsque nous avons décidé d’acheter notre maison pour élever notre famille et pour ouvrir ma garderie en milieu familial, notre principal critère était qu’elle soit située dans un quartier sécuritair­e pour les enfants. Nous voulions qu’ils puissent faire du vélo dans la rue, qu’ils soient libres d’aller jouer chez leurs amis ou au parc sans que nous soyons trop inquiets.

Lorsque nous avons visité notre maison, dans le secteur de Saint-rédempteur, nous avons été charmés par le quartier et par la proximité des parcs, des écoles, de la piste cyclable et des chutes de la Chaudière [un endroit très agréable pour les randonnées en famille]. Il y a aussi plusieurs épiceries, restaurant­s, pharmacies et boutiques à quelques minutes de voiture, ce qui est un gros avantage pour nous. Ce que nous apprécions également, c’est que nous n’avons qu’à traverser le pont et aller faire un tour dans le Vieux-québec pour se sentir en vacances pendant quelques heures !

Voilà pourquoi nous avons choisi la belle ville de Lévis. »

CÉLINE CLAVET

« Après avoir passé une cinquantai­ne d’années à l’extérieur de Lévis, je reviens dans cette ville qui a beaucoup changé. Je voulais me rapprocher du fleuve, là où j’ai grandi.

J’y ai retrouvé une ville extraordin­aire, transformé­e, une grande ville, dans tous les sens du mot : vaste territoire, quartiers résidentie­ls nouveaux, quartiers d’affaires, offre commercial­e abondante, etc.

Sports, culture, loisirs… Tout y est offert. On peut aussi profiter de la nature, des parcs, des pistes cyclables.

Lévis vraiment est une ville où il fait bon vivre. Je suis agréableme­nt surprise. »

VIRGINIE DUFOUR

« J’ai choisi d’habiter Lévis depuis 1995 et d’y fonder ma famille, même si je travaille à Sainte-foy. La décision s’est prise sur un “flash” assez fulgurant, alors que je soupais au restaurant tournant du Concorde et que j’admirais la vue sur le Saint-laurent, barrière naturelle qui sépare les villes situées sur ses deux rives.

Pourquoi est-ce que je n’habiterais pas le Vieux-lévis ? Je pourrais ainsi admirer, chaque jour, la splendide “carte postale” qu’est le Vieux-québec plutôt que vivre à l’intérieur de celle-ci. Je n’ai jamais regretté ce choix fait sur un coup de tête !

Dès lors, j’ai appris à aimer le Vieux-lévis pour d’autres raisons que les vues magnifique­s qu’il offre sur la capitale : histoire, architectu­re, patrimoine, culture, vie de quartier, espace de quiétude, environnem­ent sécuritair­e. Depuis que le quai Paquet s’est refait une beauté, dans le secteur de la traverse, ce sont tous les Lévisiens qui ont renoué avec l’idée que cette ville est intimement liée au fleuve. L’incroyable succès de la piste cyclable du Parcours des Anses en témoigne quatre saisons par année.

Aimer le Vieux-lévis, ce n’est donc pas difficile. Il suffit seulement d’accepter de monter et de descendre quotidienn­ement buttes, côtes, collines, cap et falaise, d’avoir de beaux mollets musclés... et le tour est joué ! »

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