13 M$ pour Price dimanche
Carey Price célébrera la fête du Canada en empochant une rondelette somme de 13 millions de dollars. C’est dimanche, en effet, qu’entrera en vigueur la prolongation de contrat qu’il a signée il y a un an.
D’une durée de huit ans, l’entente comportant une clause de non mouvement est d’une valeur globale de 84 millions $ . Plus de 83 pour cent de cette somme, soit 70 millions $, lui seront attribués sous forme de bonis. Il encaissera 13 millions $ aussi le 1er juillet 2019, puis 8,75 M$ en 2020, 11 M$ en 2021, 6,75 M$ en 2022, 6,5 M$ en 2023, 5,5 M$ en 2024 et 5,5 M$ en 2025. Son salaire sera d’un ou deux millions $ pour chacune des huit années du contrat.
Du p’tit change quoi !
DIFFICILE À ÉCHANGER
Ces chiffres mirobolants ont de quoi refroidir les gens qui estiment que l’avenir du Tricolore ne passe plus par Price et que l’équipe aurait plutôt intérêt à l’échanger.
On dit que rien n’est impossible en ce bas monde, mais combien d’équipes seraient disposées à endosser le contrat de Price ?
Dire que Marc-andré Fleury gagne 5,75 millions avec les Golden Knights de Vegas.
POURQUOI VOULOIR RAMENER PLEKANEC ?
Personne ne conteste que Tomas Plekanec a rendu de très bons services au Canadien. Mais on peut se demander aujourd’hui pourquoi l’équipe voudrait le ramener dans son giron.
L’attaquant tchèque aurait beau ne pas coûter cher, la direction du Tricolore contreviendrait à son désir de changement après l’affreuse saison qu’elle a connue.
Pour changer la culture dans le vestiaire, le Canadien doit se départir des éléments qu’il jugeait nocifs lors de la dernière campagne.
Doit-on penser qu’alex Galchenyuk était le seul ? Non. Carey Price a fait montre d’une mauvaise attitude. Max Pacioretty était malheureux. On parle de trois gros morceaux.
Personne n’a été capable d’assainir l’air dans le vestiaire. Claude Julien et Bergevin ont eu leur part de responsabilités.