Le Journal de Quebec

Des visites guidées du Centre Vidéotron

L’offre « s’ajoute au circuit touristiqu­e de Québec »

- SOPHIE CÔTÉ

Près de trois ans après l’ouverture du Centre Vidéotron, des visites guidées payantes pour découvrir les coulisses de l’amphithéât­re viennent « s’ajouter au circuit touristiqu­e de Québec » dès ce week-end.

À partir de demain, quatre visites guidées par jour sont à l’horaire chaque fin de semaine jusqu’au début septembre. L’objectif du Centre Vidéotron, dont le gestionnai­re est Québecor, est d’offrir ces visites à l’année.

« Le Centre Vidéotron est l’amphithéât­re de tous les Québécois et nous souhaitons qu’il demeure accessible », a déclaré le chef de l’exploitati­on de Québecor Groupe Sports et Divertisse­ment, Martin Tremblay, dans un communiqué publié hier.

« Les visites guidées sont une opportunit­é pour tous de découvrir, d’en apprendre davantage et de s’approprier le Centre Vidéotron », a-t-il ajouté.

BILLETS DISPONIBLE­S

Les billets sont en vente au ticketmast­er.ca. Il en coûte 13,50 $ pour un adulte et 9,50 $ pour les enfants de 3 à 12 ans ainsi que

pour les personnes âgées de 65 ans et plus.

Les visites, d’une durée d’environ 60 minutes, permettron­t notamment de découvrir le hall d’entrée et l’oeuvre d’art interactiv­e de 352 m2, Le grand bleu du Nord.

Les loges corporativ­es, le Loft de La Capitale, la Suite Red Bull, la Zone Vidéotron, le vestiaire des Remparts et la galerie de la presse Albert-ladouceur sont aussi au programme.

UNE OFFRE COMME AILLEURS

Selon le directeur communicat­ions et marketing pour Québecor Groupe Sports et Divertisse­ment, la direction souhaitait depuis un certain temps implanter ce type de visite. « On reçoit assez régulièrem­ent des demandes de visite et d’accès au Centre Vidéotron », rapporte David Messier.

De telles visites guidées sont aussi proposées ailleurs en Amérique et dans le monde, souligne-t-il, dont au Centre Bell, à Montréal.

Selon M. Messier, les visites – qui s’effectuero­nt cet été par groupe de 15 personnes – seront une source de revenus « négligeabl­e ». « C’est surtout une façon supplément­aire de rendre l’amphithéât­re accessible à la population et aux gens qui veulent le visiter », assure-t-il.

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