EN RAFALE
DOSSIER DE L’AÉROPORT
Au cours des prochaines semaines, André Roy et son équipe finaliseront le rapport tant attendu du Comité sur l’accessibilité aérienne, qu’il préside. Le tout, qui vise à trouver des solutions pour augmenter le nombre de liaisons aériennes à partir de Québec, doit être remis d’ici les Fêtes. Malgré des investissements de 277 M$, dont 100 M$ proviennent de subventions des gouvernements fédéral et provincial, l’aéroport de Québec continue de perdre des vols au profit de Montréal, et s’est attiré un mauvais classement quant à sa performance et ses frais élevés. « Je pense que la vision des gens de l’aéroport, c’est de se donner un outil pour que, dans cinq, six ou neuf ans, on ait un aéroport qui va être encore capable de répondre à la demande, expose M. Roy. Je suis convaincu qu’on va arriver avec un plan qui va améliorer les choses, mais ça ne se fera peut-être pas aussi vite que les gens le souhaiteraient. »
PASSION POUR LA PLONGÉE
Son équilibre, André Roy le retrouve soit sous l’eau, lui qui adore explorer les fonds sous-marins, ou encore à travers les arts martiaux, qu’il pratique depuis 35 ans. Concernant la plongée, qu’il pratique au Québec, mais aussi lors de ses voyages à l’étranger, il a même poussé l’audace jusqu’à devenir l’un des plongeurs qui entretenaient le bassin de l’aquarium du Québec, dont il était aussi le directeur. Au début, quand il a proposé ses services, le maître de plongée a paru surpris. « Mais quand je lui ai expliqué que ce serait lui le patron quand il revêtirait son costume de plongée, il a embarqué. »