PAS DE RANCOEUR ENVERS SON PÈRE
Le fils d’olivier Guimond, Richard Darbois, ne garde aucune rancune envers son père, qu’il ne voyait pratiquement jamais.
Lorsque le célèbre comique québécois et sa seconde épouse, Jeanne Darbois connue sous le nom d’artiste de Jeannne-d’arc Charlebois, se sont séparés au milieu des années 50, cette dernière a quitté le Québec pour la France avec ses deux enfants.
« J’ai revu mon père à 13 ans lors des funérailles de mon frère à la suite d’un accident de voiture, se souvient M. Darbois maintenant âgé de 67 ans. Il était venu en France, et on a passé quelques jours ensemble. »
Puis, les deux hommes se sont vus quatre ans plus tard lorsque le fils est venu travailler au Québec, soit trois ans avant le décès d’olivier Guimond, en 1971, à l’âge de 57 ans.
« Ma mère disait qu’il était un super comédien, mais je n’avais pas beaucoup de rapports avec lui et je n’ai aucun remords ni acrimonie », a dit l’acteur, qui demeure maintenant en Guadeloupe et qui double plusieurs acteurs américains tels qu’harrison Ford ainsi que Richard Gere.
IL LOUANGE LE TRAVAIL DE BENOIT BRIÈRE
Richard Darbois a vu la série Cher Olivier, qui a été présentée en 1997 et dans laquelle Benoit Brière interprétait son père.
« Benoit n’avait pas le même physique que mon père, mais je l’ai trouvé vachement bon », dit-il sans détour.
« Lorsque j’ai regardé la série, je me suis dit que ce comédien était excellent », a-t-il ajouté en mentionnant qu’il n’avait jamais eu la chance de rencontrer Benoit Brière.
PRÊT POUR LE QUÉBEC
La dernière fois que le fils d’olivier Guimond a mis les pieds au Québec, c’était lors de l’enterrement de sa mère en septembre 2001.
« Je devais y revenir pour doubler Harrison Ford pour le dernier Indiana Jones (2008), mais pour une raison que j’ignore ça ne s’est pas concrétisé », a indiqué l’acteur.
Lorsque Le Journal lui a demandé s’il aimerait venir travailler au Québec sur divers projets, il n’a pas eu besoin de réfléchir très longtemps pour répondre.
« Je suis prêt, et il suffit de m’appeler ! » s’est-il exclamé.