Réhabiliter la réussite
Le déclin des États-unis et de la société occidentale est bien amorcé. Mais parions qu’il s’accélérera au cours des prochaines années. Non en raison d’agressions extérieures, qu’elles soient politiques, économiques ou militaires, mais bien à cause du wokisme, cette idéologie toxique qui gangrène toutes les strates de la société.
Au nom de la « justice sociale », on veut tout déconstruire sans discernement, sans considérer les conséquences éventuelles sur l’avancement de la société. On a fait d’un slogan vide une arme de destruction massive !
CASTRATION
Les mathématiques sont devenues la plus récente victime du wokisme. Par souci d’équité, la Californie réinvente son système d’éducation de manière à décourager les enfants doués en mathématiques de suivre des cours accélérés et plus avancés. Au nom de la « justice », on nivelle par le bas. On pratique la castration intellectuelle.
En fait, la pseudo-vertu woke n’est rien d’autre qu’une attaque envers le mérite, le talent, les aptitudes, et l’effort. Les chevaliers de la justice sociale refusent de reconnaître le succès, et encore moins de le valoriser. Au contraire, ils redoublent d’imagination pour l’asphyxier. Il suffit que quelqu’un sorte du lot pour qu’on le sabote. Au nom de l’égalité, le wokisme impose la nullité.
Or, la nullité est un projet de société assassin.
D’une part, quelle injustice l’enfant doué aurait-il commise ? Et en quoi est-il « juste » de l’empêcher de progresser ? Au contraire, c’est presque de la maltraitance.
D’autre part, la stérilisation des esprits empêche l’émergence de grands talents, peut-être même de génies dont les découvertes et les inventions bénéficieraient à tous. Sans compter que traverser un pont construit par les diplômés de la justice sociale deviendra périlleux !
NULLOCRATIE
Aujourd’hui, on assiste au grand remplacement. Celui où l’idiocratie, voire la nullocratie, remplace la méritocratie. Notre seul espoir : résister à cette folie destructrice transportée par la médiocrité woke et réhabiliter la réussite. En serons-nous capables ?