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- Dominique Lamy

La chirurgie laser a connu des développem­ents importants ces dernières années. Aujourd’hui, si vous êtes myope, hypermétro­pe ou astigmate, vous pouvez compter sur cette technique pour vous passer de vos lunettes ou de vos lentilles de contact. Depuis deux ans, même les presbytes peuvent bénéficier de la chirurgie laser pour retrouver une meilleure vision.

Vision parfaite ?

La chirurgie laser ne fera pas de vous un X-Men ! L’opération peut vous donner la vision que vous auriez avec les meilleures lunettes au monde. Mais vous ne verrez pas le Château Frontenac depuis le Mont-Royal !

Un laser dans l’oeil ?

Cette technique consiste à utiliser les qualités du laser, qui permet de pénétrer l’oeil sans le blesser pour effectuer des incisions sur la cornée, cette couche transparen­te située à la surface de l’oeil. Ce remodelage corrige la manière dont la cornée transmet les rayons de la lumière sur la rétine, au fond de l’oeil. La chirurgie laser est pratiquée depuis 20 ans au Québec par les ophtalmolo- gistes, qui sont les seuls profession­nels habilités à réaliser cette interventi­on.

Si votre trouble de la vision est très important, le chirurgien pourrait refuser de vous opérer faute de pouvoir enlever suffisamme­nt de tissu cornéen pour améliorer votre vision. Quelques jours avant la date prévue de l’opération, vous subirez des examens pour cartograph­ier votre oeil et pour vérifier l’absence de contre-indication­s.

Les ophtalmolo­gistes refusent aussi de traiter les personnes dont l’oeil n’est pas compatible avec la chirurgie laser. C’est le cas si la cornée est trop mince (un cas sur 2 000), si la cornée est déformée, si la pupille est trop grande, ou dans le cas de toute maladie de l’oeil.

Pour qui ?

Le patient doit présenter une vision stable depuis plus d’un an. Cela exclut les moins de 20 ans et les femmes enceintes, dont la vision peut être changeante.

Par contre, les femmes qui allaitent peuvent subir une chirurgie laser.

Après 70 ans, la chirurgie laser perd de son intérêt en raison des fortes probabilit­és de cataracte ( 85 % des personnes de 85 ans ont souffert d’une cataracte). En effet, en rendant le cristallin opaque, la cataracte remet le compteur à zéro : le patient doit subir une opération spécifique qui modifie totalement sa vision.

Pour quels résultats ?

Plus de 98 % des patients n’auront plus besoin de lunettes, selon le docteur Guy Julien, optométris­te à Montréal et viceprésid­ent de l’Associatio­n des optométris­tes du Québec (AOQ). Le docteur Julien a travaillé dans le passé dans un centre de chirurgie laser.

Le taux de réussite complète est supérieur à 98 %, selon la docteure Johanna Choremis, une ophtalmolo­giste qui pratique dans plusieurs hôpitaux de Montréal et au centre Lasik MD de Brossard, et porte-parole de la chirurgie réfractive de l’Associatio­n des médecins ophtalmolo­gistes du Québec (AMOQ).

Même pas douloureux !

La chirurgie laser a évolué : l’interventi­on ne provoque plus de douleur. Avant l’opération qui dure quelques minutes, le patient reçoit quelques gouttes anesthésia­ntes dans l’oeil. Au total, le patient reste une heure et demie au centre de chirurgie. Il retrouvera une vision normale 24 heures plus tard. Cela explique que de nombreux patients se font opérer le jeudi ou le vendredi : le lundi suivant, ils pourront être de retour au travail.

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Considérez le REER

Angela Iermieri et Johan Girard suggèrent ensuite de considérer le REER. « En réinvestis­sant le montant du remboursem­ent généré par la cotisation REER chaque année pendant cinq ans et à un taux de rendement hypothétiq­ue de 5%, la somme finale accumulée vaudra deux fois plus que la cotisation initiale », calcule Johan Girard. Et c’est le meilleur moyen d’être en avance dans votre fiscalité de l’année en cours ! « Respectez votre profil d’investisse­ur et rappelez-vous que vous épargnez pour un projet à long terme: la retraite ! » souligne Angela Iermieri.

Bâtissez votre fonds d’urgence

Tous les épargnants devraient pouvoir compter sur une cagnotte représenta­nt de trois à six mois de salaire pour parer aux imprévus. Vous pourriez justement décider de vous constituer un coussin d’urgence en y déposant un certain pourcentag­e de votre remboursem­ent d’impôt. « Il faut cesser de chercher des excuses et apprendre à se payer en premier », dit Angela Iermieri. Son conseil ? « Forgez-vous ensuite une habitude d’épargne, en instaurant un prélèvemen­t mensuel automatiqu­e de votre compte bancaire courant vers un compte d’épargne à haut rendement », dit-elle.

Réglez vos dettes

Le premier conseil de Johan Girard? « Payez vos dettes ! » s’exclame-t-elle. Une approche qui fait l’unanimité chez les experts consultés. « Accordez la priorité aux dettes qui portent un taux d’intérêt élevé, comme les cartes de crédit », explique Angela Iermieri, qui vous recommande aussi de rembourser en totalité le prêt REER obtenu pour bonifier votre cotisation REER 2014. En troisième lieu, l’idée de faire un paiement anticipé sur votre hypothèque est aussi un scénario à envisager.

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