Les Affaires Plus

Créer sa propre « box » à la maison

Combien coûte l’arsenal du futur pro de l’entraîneme­nt fonctionne­l à domicile?

- par Claudine Hébert

SOL MATELASSÉ De 22 à 25 $ le m2

Un tapis de sol d’au moins 9mm d’épaisseur est essentiel pour couvrir l’espace d’entraîneme­nt. Ce tapis, sans odeur, protège le revêtement de plancher surchargé d’équipement­s lourds, en plus d’amortir le choc des accessoire­s qu’on y laisse tomber.

BANC PLAT DE MUSCULATIO­N De 150 à 200 $

Pratique pour effectuer les exercices de musculatio­n du tronc. On privilégie un modèle suffisamme­nt solide pour soutenir son poids, et celui des poids qu’on soulève.

SUPPORT À FLEXION DES JAMBES ( SQUAT) De 300 à 500 $

Plusieurs modèles sont conçus pour des pièces dont le plafond est d’une hauteur de moins de 2,5 mètres. L’option du support pliable (près de 500 $) est pratique pour les espaces réduits. Si possible, on opte pour un support avec barre à traction pour faire des tractions à la barre fixe ( pull-up).

BARRE OLYMPIQUE ( BARBELL) De 100 à 300 $

Plus on y met le prix, plus la barre peut soulever de poids. Pour plus de souplesse, il vaut mieux choisir une barre d’au moins deux mètres de long munie d’un roulement à aiguilles ( needle bearing).

DISQUES ET COLLETS Entre 275 et 500 $

Les disques en caoutchouc ( bumber plates), vendus entre 2,80 et 3,20 $ le kilo, ont la cote. Ils absorbent davantage les chocs lorsqu’ils tombent au sol. Un kit de base comprend une paire de disques de 4,5, de 7, de 12 et de 20 kg. On n’oublie pas les collets (de 10 à 30 $ la paire) pour fixer les disques à la barre pendant l’exercice.

ÉQUIPEMENT­S COMPLÉMENT­AIRES De 150 à 350 $

Pour une plus grande variété d’exercices, on ajoute une corde à sauter (10 $ env.), la boîte de plyo pour les jambes (de 100 à 200 $), un haltère russe ( kettlebell) de 10 à 30 kg (de 3 à 4 $ le kg), des ballons d’exercice (un peu plus de 100$ pour s’équiper d’un slamball et d’un wallball) et une boîte de craie de 15 dollars environ.

Seulement un Canadien sur dix consulte un conseiller financier avant le grand jour. Parmi tous les pays occidentau­x, c’est au Canada que les parents épargnent le plus pour les études de leurs enfants, soit sept parents sur dix (72%). C’est plus qu’aux États-Unis (65%), qu’en Australie (53%), qu’au Royaume-Uni (46%) et qu’en France (43%). En plus de sacrifier leur Un Canadien sur trois n’y avait pas pensé, mais trouve qu’il s’agit d’une bonne idée. épargne-retraite, plus d’un parent canadien sur deux (54%) est prêt à s’endetter pour permettre à sa progénitur­e de poursuivre des études collégiale­s et universita­ires. Remarquez, ce soutien financier ne vient pas sans conditions. Trois parents sur cinq ont en tête une profession précise pour leurs rejetons. Et ce sont les pères (45%) qui se révèlent les plus exigeants sur ce point. Les mères, elles, vont considérer le potentiel de revenus de la profession (40%), le choix de leurs enfants (41%) et leurs aptitudes (43%). Un Canadien sur trois n’en voit pas l’utilité. des répondants n’ont pas d’opinion sur le sujet.

 ??  ??
 ??  ??
 ??  ??
 ??  ??
 ??  ??
 ??  ??

Newspapers in French

Newspapers from Canada