Rêvons un peu
Dans voulait pilote artiste les de au années dire rayonnement ligne, être 2000 vice-président représentant encore, planétaire. travailler chez d’une un aux multinationale constructeur quatre coins de du ou trains, globe bien
un Plus ordinateur maintenant. portable Alors et que un faut-il téléphone ? D’abord, intelligent, on doit exigence posséder plutôt accessible. Le plus important, cependant, est de travailler à son compte dans un secteur intangible, comme la programmation, la conception web, la communication ou certains domaines de la finance. Puis le monde est à vous… Enfin presque, car encore là, il reste des obstacles.
Si l’appel des enfants vous démange de l’intérieur, autant vous le dire tout de suite: c’est fichu d’avance. Mieux vaut avoir un coeur imperméable et garder son indépendance, pour un temps du moins. Il faut valoriser l’enrichissement expérientiel plutôt que matériel (lire voyager et faire des rencontres plutôt qu’acheter REER), prévu, une sable notre La Dans une aversion jeunesse : dossier un savoir ce avoir maison minimum numéro, un pour est improviser principal penchant un et les nous de atout. engraisser pantoufles. discipline. aux consacrons et pour Indispen- cultiver travail- l’im- un leurs près, travail lulent nomades. qui partagés en peuplent ville D’abord ( comme coworking) les à espaces en ceux, qui région. plus pul- de Et poussent à ceux les qui, limites passeport de leur en bureau poche, jusqu’à S’il se Lima trouve ou aujourd’hui Kuala Lumpur. des travailleurs nomades, c’est qu’il est possible de satisfaire ses clients à partir des coins reculés du globe grâce à l’ubiquité presque totale d’Internet et à sa vitesse de plus en plus grande. L’hébergement facile et l’arrivée des transporteurs Nous sommes aériens loin d’un à bas phénomène prix n’y sont généralisé, pas pour les rien nomades non plus. ne représentant qu’une portion marginale, et exotique, des « forces laborieuses ». Leur nombre ne cesse toutefois d’augmenter, tellement qu’on se trouve aujourd’hui en face d’une masse critique autour de laquelle gravite une petite industrie qui lui est dédiée. Des entreprises, initiatives souvent de travailleurs eux-mêmes mobiles, se consacrent à répondre aux besoins des nomades: références, hébergement, conseils, etc.
Nos reportages font état du phénomène, relatent des cas qu’on voudrait imiter et offrent des conseils à celui ou celle qui serait tenté(e) par l’aventure, ne serait-ce que quelques mois.
Ils font aussi rêver. +
S’il se trouve aujourd’hui des travailleurs nomades, c’est qu’il est possible de satisfaire ses clients à partir des coins reculés du globe. »