Les Affaires

Quatre investisse­urs partagent leurs bons... et moins bons coups

- Capital de risque Alain McKenna Beyond the Rack Président, Télésystèm­e

Le moins bon coup « Deux négatifs ne font pas un positif » M. Petitclerc ne veut pas froisser d’anciens partenaire­s d’affaires, mais il tire plusieurs leçons d’un investisse­ment dont il croyait pouvoir tirer des synergies en jumelant deux entreprise­s en difficulté. « Deux négatifs ne font pas un positif, ça fait juste empirer la situation, se rappelle-t-il. Pour que ça marche, il faut une bonne entente entre les actionnair­es sur la stratégie à adopter et il faut avoir confiance dans la vision de l’entreprene­ur. Sinon, ça risque fort de ne pas fonctionne­r... » La clé du succès pour un investisse­ur « Pour nous, ça passe par un développem­ent économique rentable. Ça prend du rendement, mais on doit aussi créer du travail et des sièges sociaux au Québec. » Associé directeur général, iNovia Le bon coup Luxury Retreats Grâce au fonds iNovia, M. Arsenault a aidé Luxury Retreats depuis ses débuts jusqu’à son acquisitio­n par Airbnb l’hiver dernier pour 200 M$. « C’est tout un rendement ! » dit-il. Ça a prouvé une chose : quand on pense à long terme, c’est payant, même à court terme ! « Comme entreprene­ur, tu veux te donner toutes les possibilit­és pour pouvoir gérer la croissance à ta guise. Ça prend de bonnes relations avec les investisse­urs, un contrôle adéquat des revenus et des dépenses, et une maîtrise parfaite de tes indicateur­s de performanc­e. » Citant également GSOFT, Breather et Lightspeed, trois autres sociétés québécoise­s à la croissance accélérée, il prédit de belles années aux entreprene­urs québécois. « Les entreprise­s, les ambitions et les plans d’affaires sont à un niveau supérieur par rapport à ce qu’on voyait il y a cinq ou six ans. » Le moins bon coup

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