LA PANDÉMIE ET VOUS
Sur notre page Facebook, vous avez été nombreux à réagir à nos articles sur la pandémie de COVID-19. Voici quelques commentaires reçus.
Au sujet de la dernière chronique de Jean- Patrick Toussaint sur les liens entre la destruction des écosystèmes et la transmission de maladies infectieuses :
Ce texte m’ébranle pour sa choquante réalité. Il faut tous bouger. Maintenant. Il est impératif de changer le grave scénario qui est à nos portes. Certes, il faut bannir les avocats, l’huile de palme, l’énergie fossile, l’élevage industriel, etc. Mais il faut aussi que les scientifiques du monde entier se concertent pour guider les politiques, les décideurs, les entrepreneurs et les médias, sans quoi l’échec est inévitable. Je n’arrive pas encore à choisir une simple boîte de thon… On part de loin.
− Louise Laurion
Au sujet de notre reportage sur la modélisation des épidémies :
Très intéressant. Convertir des attitudes et des comportements humains en données comptables, c’est plus compliqué que ce que les gérants d’estrade pensent.
− Dominique Lapointe
On nous a présenté tellement de graphiques et de courbes depuis les dernières semaines. Il y avait de quoi en perdre son latin. Merci pour ce reportage qui m’a permis de mieux comprendre la complexité de cette science.
− Manon Éthier
Au sujet du carnet de bord du Dr François Marquis, chef de l’unité des soins intensifs de l’hôpital Maisonneuve-Rosemont :
Depuis le début de la crise de la COVID-19, on a entendu ad nauseam les commentaires sur la lourdeur administrative du ministère de la Santé et des Services sociaux et son inefficacité chronique. On tend trop souvent à oublier que, même s’il est faillible et imparfait, notre système de santé est porté à bout de bras par des êtres humains dont le dévouement est exemplaire. À la lecture du carnet de bord du Dr Marquis, on prend réellement conscience que la très grande majorité des intervenants du réseau de la santé de première ligne sont véritablement nos anges gardiens. La formule du premier ministre n’est pas trop forte.
− Gilles Savard