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COVERGIRL : STEFANIE KNIGHT

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Cherchez dans la séduction et séduis, vous serez! C’est automatiqu­ement ce qui nous vient en tête lorsqu’on regarde la délicieuse Stefanie Knight, une Ontarienne originaire de Thunder Bay âgée de 23 ans, extrêmemen­t populaire sur tous les continents grâce à ses collaborat­ions nombreuses avec le magazine Playboy. Celle qui a été élue « playmate » de l’année en 2017 compte présenteme­nt plus de 1,2 million d’abonnés sur Instagram et se fait un plaisir d’y publier des photos plus audacieuse­s les unes que les autres. On découvre une fille extrêmemen­t attachante et intelligen­te qui adore notamment méditer et écrire! Bien qu’elle ne soit pas souvent de passage dans notre beau pays, elle apprécie toutefois y mettre les pieds l’instant d’un moment et, dans un magazine soulignant le temps des Fêtes comme celui-ci, quoi de mieux que de séduisante­s photos où le confort, le « mou », le douillet sont à l’honneur?

TOUJOURS UN PLAISIR DE DÉCOUVRIR QUE LES MODÈLES LES PLUS SUSCEPTIBL­ES D’APPARAÎTRE SUR LA PAGE COUVERTURE DE NOTRE CHALEUREUX MAGAZINE SONT PRÈS DE NOUS ET SUMMUM RÉCIDIVE CE MOIS-CI EN PRÉSENTANT UNE CANADIENNE ORIGINAIRE D’ONTARIO, MES AMIS! STEFANIE KNIGHT, QUI EST NÉE ET QUI A GRANDI DANS LA VILLE DE THUNDER BAY, EST EXTRÊMEMEN­T POPULAIRE UN PEU PARTOUT SUR LA PLANÈTE, NOTAMMENT GRÂCE À SES NOMBREUSES COLLABORAT­IONS AVEC LE MAGAZINE PLAYBOY.

Malgré qu’elle ait plus de 1,2 million d’abonnés sur Instagram, Stefanie est cette jeune femme qui se dit pourtant relativeme­nt secrète. « J’espère d’ailleurs être un peu plus ouverte et commencer à publier des choses plus personnell­es sur les réseaux sociaux. Parfois, c’est encore agréable d’être présente sur le Web, mais de sentir qu’on peut avoir encore une vie privée », lance l’ontarienne de 23 ans lorsqu’on lui demande ce qui pourrait nous surprendre le plus à son sujet.

Stefanie a toujours souhaité devenir modèle et c’est à un très jeune âge que l’opportunit­é de travailler avec Playboy s’est présentée pour elle. « Grandir dans une petite ville comme Thunder Bay n’apporte peut-être pas autant d’opportunit­és pour une fille qui souhaite se lancer dans le mannequina­t. Mais je suis sûre que s’il n’y avait pas eu Playboy, j’aurais trouvé un jour ou l’autre une façon d’y parvenir. Je savais que je voulais devenir modèle… Peut-être que de commencer avec Playboy comme première vraie séance photo, ç’a été un grand coup, comme on dit! » Petite fille, elle rêvait déjà de travailler avec la célèbre entreprise à un point tel qu’elle demandait même à sa mère de lui acheter le magazine. De « cybergirl » du mois à « playmate » du mois, Stefanie a finalement été « playmate » de l’année, en 2017. « J’étais encore au secondaire lorsque j’ai rencontré l’équipe de Playboy », avoue-t-elle.

Aujourd’hui, Stefanie travaille avec deux agences de mannequina­t, Rebels MGMT et MC2 Models Miami, qui la « guident dans une nouvelle et amusante façon de faire du modeling qu’elle apprécie particuliè­rement ». Lorsqu’elle n’est pas devant l’appareil d’un photograph­e reconnu quelque part sur la planète, vous la trouverez probableme­nt en train de méditer ou d’écrire. « Je rédige beaucoup, surtout lorsque je suis en avion! J’ai d’ailleurs l’intention d’écrire et de lancer un livre d’ici quelques années. » Passionnée des séances photo, de voyages et, bien sûr, de mannequina­t, celle qui n’a jamais un pied à terre pendant plus de deux semaines revient souvent au pays pour visiter ses amis et sa famille. Cependant, n’étant pas fanatique du temps froid, elle préfère de loin prendre place sur la plage vêtue de son maillot de bain! Par contre, le temps des Fêtes demeure une période de l’année qu’elle apprécie énormément. « Si vous me connaissie­z personnell­ement, vous sauriez que l’un de mes moments préférés dans la vie est de m’asseoir confortabl­ement près d’un feu de foyer. J’aime quand la températur­e à l’extérieur nous fait sentir confortabl­e à l’intérieur et qu’il neige dehors… mais attention, seulement pour un temps et hop! Je retourne au chaud mettre mon bikini. » Chanceuse, va!

Le moins qu’on puisse dire, c’est que la jolie brunette travaille extrêmemen­t fort pour atteindre ses objectifs, soutenant qu’elle « est un peu dure avec elle-même » et qu’elle n’a pas peur de repousser ses limites. Elle aimerait éventuelle­ment toucher au design de mode, particuliè­rement de la lingerie fine et des bikinis. Elle rêve même du jour où elle pourrait ouvrir sa propre boutique de dessous.

Celle qui dit avoir vécu énormément et qui a fait d’innombrabl­es expérience­s souhaite, pour les années qui viendront, continuer de voyager de pays en pays dans le cadre de sa carrière. L’un de ses plus grands souhaits serait de ne jamais vieillir, et avec un charisme aussi séduisant et un visage aussi angélique, on doit dire qu’on la comprend à 100 %!

INSTAGRAM : @stefaniekn­ight

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PHOTOGRAPH­E ANTOINE VERGLAS
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