BROSSEAU SATISFAIT
Michel Brosseau persiste et signe. Selon lui, Marc A. Le Gris, actuel conseiller municipal à Grenville-sur-la-Rouge, avait donné une fausse adresse pour être candidat au poste de maire en 2013.
Il se fonde sur le jugement de la Cour supérieure qui lui donne raison, contrairement au directeur général des élections du Québec (DGEQ). (Voir la Tribune-Express du 31 mai dernier)
« Le juge Poirier a très bien jugé la cause et a très bien vu que les preuves de M. Le Gris n’étaient pas fondées. Il a été incapable de prouver ce qu’il avançait. Lors de l’élection du 24 mars 2013, M. Le Gris avait donné comme adresse pour sa mise en candidature un bâtiment qu’il avait vendu. Il avait vendu ce bâtiment le 11 novembre 2012 et c’était signé chez le notaire. Donc, il n’était plus propriétaire du bâtiment », a affirmé M. Brosseau, l’ancien maire.
Il s’explique mal, alors, que le DGEQ n’ait rien à reprocher à M. Le Gris à la suite de sa plainte. « Ils ont pris quatre ans, de février 2013 à juin 2017, pour m’envoyer une réponse. Je pense que ce n’est pas logique de leur part », a-t-il commenté. —Frédéric Hountondji
Michel Brosseau persists in alleging that Marc A. Le Gris, current municipal councilor in Grenville-sur-la-Rouge, had given a false address to be candidate for the position of mayor in 2013.