RETOUR DANS LE TEMPS
Avec Mark Wahlberg, Anthony Hopkins, Josh Duhamel, Laura Haddock, Stanley Tucci
Dix ans après la sortie du premier film de l’une des franchises cinématographiques les plus lucratives de l’histoire (un peu plus de 3,5 milliards de profit jusqu’à maintenant!), voilà que le cinquième volet arrive sur nos écrans.
Mark Wahlberg, qui a pris la relève de Shia LaBeouf à titre de tête d’affiche de la franchise en 2014 dans Transformers: L’ère de
l’extinction, reprend son rôle dans ce nouveau volet toujours réalisé par Michael Bay, qui a toutefois annoncé qu’il n’allait pas être à la barre du prochain.
Anthony Hopkins fait son entrée dans l’univers de ces robots extraterrestres où il joue un rôle déterminant dans l’histoire de ce cinquième long métrage, qui marque aussi le retour de Josh Duhamel et de Tyrese Gibson, dont les personnages, présents dans les trois premiers films, avaient été exclus de l’histoire du quatrième volet.
EN PLEINE GUERRE
Nous retrouvons ces personnages alors que les humains et les Transformers sont en pleine guerre. Optimus Prime n’est plus, et les humains n’ont qu’une seule option pour sauver la planète: fouiller dans le passé et dans l’histoire de l’arrivée des Transformers sur Terre, qui a été cachée à l’humanité. C’est la mission que se donne un quatuor surprenant formé de Cade Yeager (Mark Wahlberg), le lord anglais Sir Edmund Burton ( Anthony Hopkins), le Transformer Bumblebee et la professeure Vivian Wembley (Laura Haddock).
Ce long métrage, riche en effets spéciaux et en action, nous fait voyager dans le temps, à l’époque de la Seconde Guerre mondiale, et fait même une incursion dans l’univers du mythique roi Arthur.
UN TOURNAGE CONTROVERSÉ
Avec un budget de 260 millions, ce volet est de loin le plus coûteux de la franchise. Le tournage, qui s’est tenu dans plus de 20 endroits dispersés dans quatre pays (Angleterre, États- Unis, Norvège et Irlande), a suscité une controverse en Angleterre quand le palais de Blenheim, où est né Winston Churchill, a été décoré par des symboles nazis. Les vétérans de la guerre ont été grandement choqués que le palais qui a vu naître un acteur décisif dans la lutte contre l’Allemagne nazie ait été décoré ainsi.