Chaque revendeur évalue subjectivement l’état
De « Stallone », c’est- à- dire bardé de « cicatrices » , à « commeneuf», il appartient à chacun d’évaluer le grade auquel il veut vendre son appareil. D’où des incohérences comme ce smartphone en « très bon état » vendu ici moins cher que sa version en « bon état » . En réalité, non seulement l’évaluation conserve une part de subjectivité, mais en plus une quantité de facteurs entrent en jeu, comme le prix qu’aura réussi à négocier le reconditionneur pour s’approvisionner en pièces de rechange. Les commentaires au- dessous montrent que tout est loin d’être parfait au royaume du reconditionné.