LES JEUX INCONTOURNABLES
Trois millions de joueurs ont déjà succombé à ce titre mettant en scène des Vikings tentant de survivre dans un monde hostile.
La valeur n’attend ni le nombre des années, ni la grandeur de l’équipe de développement. La preuve avec Iron Gate, petit studio suédois de cinq personnes à l’origine de ce succès retentissant qu’est Valheim. Vendu sur la plateforme de jeux dématérialisés Steam, la version bêta de ce titre, en accès anticipé, a défrayé la chronique en séduisant quelque trois millions d’adeptes en une quinzaine de jours seulement après sa sortie. Sur le papier, ça ne
semblait pourtant pas gagné d’avance pour un jeu de survie à la sauce viking ne brillant ni par son originalité, ni par ses graphismes, corrects mais pas vraiment époustouflants.
À l’instar TAILLER DES MONSTRES EN PIÈCES. du jeu Ark : Survival Evolved qui, lui, prend place au temps des dinosaures, Valheim vous jette dans la bataille le plus simplement vêtu. À vous ensuite de fabriquer vos armes, d’ériger des murs pour vous mettre à l’abri, de vous confectionner une armure et toutes sortes d’outils. Survivre dans un monde peuplé de squelettes, de trolls et de serpents de mer géants, ça s’apprend. Mais vous ne serez pas tout seul. Car en plus du mode solo, l’aventure peut se vivre en coopération avec d’autres joueurs. Et par rapport à Ark, précédemment cité, Valheim simplifie certains mécanismes de jeu. L’accès aux ressources, par exemple, est grandement facilité. Vous pouvez ainsi vous concentrer sur l’essentiel : tailler les monstres en pièces. Pour la gloire et pour le Valhalla.