« Avec Miss France, je suis devenue une salariée »
Elue en décembre, la jeune femme fait le point sur son début de règne
Elle est en poste depuis plus de trois mois. Maëva Coucke, Miss France 2018, vient de faire son intégration. Après avoir passé quelques jours avec ses prédecesseures Sylvie Tellier, Alicia Aylies, Camille Cerf, Delphine Wespiser et Iris Mittenaere, la lauréate du concours de beauté fait le point sur son début de règne avec 20 Minutes. Alors, comment on se sent après presque quatre mois de règne ? Je me sens très bien et suis très heureuse d’avoir été élue. Je me rends compte de la chance que j’ai. Je participe à énormément d’événements et je fais des rencontres que je n’aurais pas pu faire sans ce titre. La réalité est-elle conforme au rêve ? C’est vrai que je cours partout tous les jours. Tant qu’on ne l’a pas vécu, on ne se rend pas compte de ce que c’est. Etre Miss France, c’est un vrai métier. On devient salariée, avec un planning, des horaires à respecter. Et il faut faire attention à beaucoup de choses parce qu’on est médiatisée. Votre plus belle rencontre depuis le début du règne ? C’est difficile. Je dirais Iris [Mittenaere]. Je l’ai rencontrée deux jours avant l’élection. Je connaissais déjà Camille [Cerf] et je l’aime aussi beaucoup. Le fait qu’on soit toutes les trois ch’tis, ça nous rapproche. Camille a été adorée, Iris a décroché l’écharpe la plus convoitée de l’univers. Comme elles, j’aimerais laisser un bon souvenir et ne pas tomber aux oubliettes après mon règne. Y a-t-il des événements à venir que vous redoutez un peu ? Non, je ne redoute rien. J’ai la chance de n’assister qu’à de superbes événements. Je vais participer à « Fort Boyard », j’ai un peu peur de tomber sur des épreuves difficiles, mais j’ai aussi hâte de vivre cette expérience. Peut-être que je mentirai un peu sur mes phobies pour ne pas avoir les pires épreuves. Miss France est comme tout le monde, elle n’est pas parfaite ! Avez-vous déjà pensé à ce que vous alliez faire une fois la page du rêve tournée ? Je suis en pleine réflexion. J’étais en licence de droit, mais je ne sais pas si je vais reprendre mes études. Vais-je avoir une proposition assez intéressante pour faire autre chose ? On m’a déjà soufflé sur une radio que je pourrais y revenir, mais rien n’est sûr. Il est encore tôt. Je pense que s’il y a des gens intéressés par mon profil, ils se manifesteront dans les derniers mois de l’année, à la fin de mon règne.