20 Minutes (Lille)

Jean-Marc Généreux passe aux fourneaux

Le danseur participe à l’émission « Le meilleur pâtissier », sur M6, mercredi

- Propos recueillis par Fabien Randanne

Des entrechats aux entremets… Jean-Marc Généreux se lance, mercredi soir, dans la compétitio­n du « Meilleur pâtissier spécial célébrités » sur M6. Aux côtés d’Hélène Ségara, Camille Cerf, Ariane Brodier et Vincent Moscato, le juge hyperactif de « Danse avec les stars » tentera de séduire les papilles de Mercotte et Cyril Lignac.

On ne vous imagine pas forcément derrière les fourneaux. Vous y êtes à l’aise ?

Je ne m’y imaginais pas, moi non plus ! Quand on m’a proposé de faire l’émission, je me suis dit que ça rendrait ma maman très heureuse de me voir me frotter à ce métier. J’aime les défis ! Quand je m’engage dans quelque chose, j’y vais à fond et, vous allez voir, ça va être drôle.

Vous vous êtes découvert un don pour la pâtisserie ?

Je me suis surpris à faire des choses comestible­s. J’étais entouré de personnes incroyable­s, et les autres concurrent­s sont des copains. C’était une compétitio­n amicale, on s’entraidait, et j’en avais bien besoin !

« Mercotte, c’est comme la prof de français qui connaît toutes les règles. »

Il paraît que vous aviez un petit peu peur de Mercotte…

« Un petit peu », c’est peu dire. Les deux me faisaient peur. Cyril Lignac est une pointure incroyable et Mercotte, c’est comme la prof de français qui connaît toutes les règles d’orthograph­e, de grammaire et de syntaxe : tu as envie de l’écouter plutôt que d’argumenter sur son savoir.

Comment vous êtes-vous préparé ?

J’ai eu un mois et, quand j’ai commencé, j’ai réalisé que je ne connaissai­s rien, que je partais de zéro. La pâtisserie, c’est un peu de la chimie. Il y a beaucoup de place pour l’imaginatio­n, mais la confection d’une recette ne peut pas varier d’un iota, sinon ça risque d’être trop cuit, trop amer…

Vous avez apporté une touche québécoise à vos recettes ?

La première épreuve était sur le thème de l’enfance. La mienne, je l’ai vécue au Québec. On est donc allé dans les saveurs qui me touchent et me rappellent les moments joyeux, où je regardais ma mère faire des pâtisserie­s, quand je passais le doigt dans le bol.

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Pour participer à l’émission, le Québécois s’est préparé pendant un mois.

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