Des soupçons de harcèlement planent sur «Les Anges»
Téléréalité Quatre candidates ont déclaré avoir subi du harcèlement de la part d’autres candidats et de la production
Nouvelle polémique pour Les Vacances des Anges 4. Après avoir vu son tournage interrompu en janvier après l’exclusion de deux candidats à la suite d’une bagarre sur l’île de La Réunion, l’émission de téléréalité de NRJ12 est de nouveau en plein bad buzz après des accusations de harcèlement proférées par plusieurs participantes.
Tout est parti d’un live Instagram. Le 15 avril, les candidates Angèle Salentino et Rawell Saiidii échangent en direct avec Céline Morel et Nathanya Sion, deux participantes de la précédente saison. Les quatre jeunes femmes se confient sur leurs expériences respectives au sein de l’émission et en viennent rapidement à aborder « l’acharnement » qu’elles auraient subi de la part de certains candidats pendant leur aventure.
Appel au boycott
Toutes dénoncent un système de harcèlement où les nouvelles protagonistes seraient prises pour cibles par des anciens tels que Sarah Fraisou (lire l’encadré) ou Raphaël Pépin. Un « mécanisme récurrent» qui serait, selon les jeunes femmes, encouragé par la production saison après saison. « J’ai l’impression que c’est la signature des “Anges”, le harcèlement (…). Parce que ça fait réagir les gens sur les réseaux et ça fait monter les vues», a déclaré Angèle Salentino. Rawell Saiidii, elle, a confié comment la production l’aurait forcée à participer au programme alors qu’elle avait changé d’avis. Sur les réseaux sociaux, les quatre candidates ont appelé les internautes à boycotter l’émission, notamment via les hashtags #BoycottlesAnges et #Boycottnjr12. Rapidement apparus dans les tendances Twitter, ils ont permis à de nombreux téléspectateurs habitués de l’émission de manifester leur soutien en relayant des extraits d’anciens ou d’actuels épisodes du programme censés illustrer certains propos tenus par les participantes du programme.
Contactée par 20 Minutes, la production ne s’est pas exprimée sur l’affaire.