3 start-up digitales à suivre
Le fonds d’investissement Quadrivium1, soutenu par l’Union européenne, accompagne financièrement et stratégiquement onze start-up françaises. Focus sur 3 d’entre elles.
> Praditus
Praditus, c’est une plateforme gratuite qui permet de réaliser un bilan de compétences innovant, grâce à l’intelligence artificielle. Les résultats prennent aussi bien en compte les compétences professionnelles que personnelles. A quoi ont servi les fonds ? A lancer la plateforme et à recruter de nouveaux collaborateurs.
> Horsecom
Composé d’une oreillette, d’un bonnet doté d’un récepteur bluetooth pour le cheval, d’écouteurs et d’une application mobile pour le cavalier, ce kit améliore les performances du cheval et son bien-être. A quoi ont servi les fonds ? A commercialiser le kit audio connecté.
> Keen Eye technologies
La start-up développe une plateforme d’aide à l’interprétation d’images médicales qui épargne un temps considérable aux acteurs de la recherche biomédicale. Depuis n’importe quel écran, les utilisateurs peuvent partager, observer et analyser des images d’échantillons biologiques. A quoi ont servi les fonds ? A finaliser le développement de sa plateforme d’aide à l’interprétation d’images.
WLa science oeuvre aussi dans le domaine du textile. Le Centre européen
des textiles innovants (CETI), inauguré en 2012 à Tourcoing, dans les Hauts de France, en est un parfait exemple. Après avoir connu les heures de gloire puis le déclin industriel du secteur, la région mise sur les textiles techniques et intelligents pour aller de l’avant. Le CETI est un centre de recherche et de développement appliqué qui allie la technologie à la création. Une trentaine de personnes y travaille : ingénieurs,