Télévision
Vincent Lagaf’ et Marine Lorphelin ont participé au jeu de survie «L’Aventure Robinson», diffusé ce vendredi à 21 h sur TF1
«J’ai vu pour la première fois ce que c’est qu’une limite.» Vincent Lagaf’ se souviendra longtemps de cette épreuve de « L’Aventure Robinson » impliquant une apnée, comme le découvriront les téléspectateurs ce vendredi dès 21 h sur TF1. Gros coup de flip aussi face à un autre défi : « Quand on nous a annoncé qu’on avait vingtcinq minutes pour construire un radeau et rejoindre la barge, j’ai dit : “Les mecs, vous attendez quoi, l’accident?”» raconte l’animateur. Il faut dire que lui et sa partenaire de galère, Marine Lorphelin, n’ont vraiment pas été ménagés durant le tournage.
« Vas-y toi d’abord ! »
« Alexia [Laroche-Joubert] sait que je suis physique, elle a peut-être corsé les choses», suggère Lagaf’. Lors de la présentation de l’émission à la presse, la présidente d’Adventure Line Productions n’a pas caché qu’elle avait haussé le niveau de difficulté… au cas où le duo aurait potassé les péripéties des binômes qui l’ont précédé (Kendji Girac et Maître Gim’s ; Amir et Christine Bravo). Le premier obstacle surgit d’emblée, avec une arrivée de nuit. « C’est impressionnant, se remémore Lagaf’. Quand on te dit : “Saute !” T’as envie de répondre : “Vas-y toi d’abord !” » « Ça met du piment », s’amuse de son côté Marine Lorphelin qui a été « déstabilisée » par ce débarquement nocturne, mais moins que par le manque d’hygiène pendant ces cinq jours passés aux Fidji. «J’avais les cheveux très longs, confie l’exMiss France. Avec la fumée, ils sentaient le cochon grillé. » « Franchement, elle puait », confirme son comparse en se marrant. Une boutade qui témoigne de la complicité qui s’est nouée entre eux.
Cette cohabitation sans nuages, contrairement à la météo, fut propice aux confidences au coin du feu. Elle s’est épanchée sur l’agression dont elle a été victime avec son compagnon. Lui a révélé avoir été adopté. Une alchimie qui leur a permis d’organiser leur vie sur l’île en bonne intelligence. « On a bouffé, eu du poisson et de la flotte tous les jours », assure Lagaf’, soulignant que, contrairement à d’autres avant eux, aucune boîte de conserve ne leur avait été fournie. Cela aurait été trop facile.