Un pasteur condamné pour plusieurs viols
Dix ans de réclusion criminelle. C’est la peine dont a écopé, mardi soir, le pasteur d’une petite Eglise évangélique près de Nantes, pour une longue série de viols sur une jeune paroissienne, entre 2013 et 2015. L’accusé, âgé de 66 ans, s’est répandu en excuses devant la cour d’assises de Loire-atlantique où il était jugé depuis vendredi. «Je ne le ferai plus jamais, en fait je me repens devant vous et je reconnais le mal que j’ai fait », a déclaré en sanglots ce père de huit enfants. La victime, très croyante et âgée de moins de 20 ans au moment des faits, a expliqué que le pasteur usait d’arguments religieux pour abuser d’elle. Des dizaines de viols ont été commis, la plupart du temps dans la chambre de la jeune femme, après des répétitions de chant gospel. Des témoins qui fréquentaient l’Eglise ont expliqué ne s’être aperçus de rien. « Je reconnais que vous avez souffert, je présente mes excuses», a indiqué l’accusé. La condamnation a suivi les réquisitions de l’avocate générale.
Contrairement à d’autres grandes villes françaises, il n’y avait pas eu à Nantes de sociétés dites de « free floating », proposant des vélos en libre-service, sans station, directement sur l’espace public. Du moins jusqu’à cette semaine. Déjà basée à Angers, l’entreprise Pony Bikes a en effet fait une brève apparition lundi et mardi. Ses 18 vélos à louer et à décrocher via une application mobile ont été positionnés près de la gare et près du Carré Feydeau. Avant d’être retirés mardi en fin de journée sur demande