« Des choses à régler »
Alors que les Aiglons ont enchaîné leur 5e clean sheet consécutif, ils peinent toujours offensivement
Mais où sont passées les attaqueséclairs ? Les fulgurances offensives ? Depuis le début de la saison, sous l’ère Vieira, les Aiglons ne sont jamais parvenus à inscrire plus de deux buts dans un match de L1. Creuser l’écart est difficile, ouvrir la marque parfois encore plus compliquée. A l’image du déplacement, samedi soir, chez la lanterne rouge Guingamp, les Niçois n’arrivant pas à faire mieux que ramener un point après un match nul et vierge (0-0).
« Beaucoup de déchets »
Un allant que les Niçois devront retrouver pour la 16e journée de Ligue 1, mardi à 19 h contre Angers. « Il faut continuer d’être solides derrière, mais aussi proposer plus de jeu vers l’avant, estime le capitaine Dante. Nous avons manqué d’intensité dans nos gestes, nos passes. Nous sommes bien, mais il y a encore des choses à régler. »
Car plus rien n’a l’air de fonctionner devant. Samedi, Patrick Vieira a fait le choix de sortir le meilleur buteur du Gym Allan Saint-Maximin dès la mi-temps. Puis Mario Balotelli a rejoint le banc à un quart d’heure de la fin. Un choix qui n’a pas plu à l’Italien. Lors du changement, l’attaquant a pointé du doigt son coach, a jeté ses gants à terre, avant de filer au vestiaire. « Il y a eu beaucoup de déchets sur le plan offensif, pointe Patrick Vieira. Je suis assez satisfait quand les joueurs ne sont pas contents de sortir, mais c’est important de comprendre que c’est mon rôle et ma responsabilité de faire des choix. Je ne suis pas l’entraîneur personnel de Balotelli, de Saint-Maximin, de Dante, de Cyprien… Je suis l’entraîneur de l’OGC Nice. » Un entraîneur qui devra trouver la solution offensive dès mardi.
Les basketteuses du Cavigal démarrent leur série. Après avoir débuté le championnat par trois défaites, elles signent leur deuxième victoire d’affilée. Ce week-end sur leur parquet de la salle Leyrit, les Niçoises se sont imposées 82-70 face au Centre fédéral. Prochain match à Chartres, samedi à 20 h.