Chouette, youpi, on est lundi !
Vie de bureau Sept raisons de sourire au taf
1 Le feu d’artifice annulé pour cause d’ivresse
L’histoire du jour nous vient directement de Beauvais, dans les Hautsde-France. Ce vendredi 30 août, un feu d’artifice devait illuminer le ciel pour clôturer la fête des 75 ans de la libération de la ville. Mais comme le rapporte Le Parisien, tout ne s’est pas passé comme prévu. Très tôt, certains habitants remarquent le comportement inhabituel d’un individu posté sur le toit de l’hôtel de ville. « Ils avaient peur que quelqu’un tombe », explique Caroline Cayeux, la maire. En effet, il semblerait que les artificiers aient bu quelques verres en préparant le spectacle. « Ils étaient totalement ivres, incapables de faire leur travail », ajoute une spectatrice, citée par nos confrères. Un test d’alcoolémie positif plus tard et « pour des raisons évidentes de sécurité », la municipalité a décidé de mettre fin à la soirée.
2 Les plantes vous veulent du bien
Selon une étude de l’université de l’Oregon (Etats-Unis), la productivité des travailleurs augmenterait de 8 % dans un environnement riche en plantes. Ce n’est pas le seul bénéfice d’un cadre végétal : l’absentéisme diminuerait également de 10 % chez les salariés en contact avec la nature.
3 Eleveur d’insectes, un métier d’avenir ?
Un jour, les lycées agricoles de France prépareront-ils leurs élèves à un bac pro éleveur d’insectes mention sauterelles et grillons ? Peut-être. Alors que l’entomophagie (le fait de manger des insectes) est une pratique très répandue dans de nombreuses cultures, en Europe, elle reste marginale. Les éleveurs de ces bestioles se comptent sur les doigts de la main. Pourtant, les bénéfices pour le climat semblent considérables. Un rapport de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture rappelait que « les grillons ont besoin de six fois moins de nourriture que les bovins, quatre fois moins que les moutons » pour produire une quantité de protéines équivalente. Par ailleurs, le rapport souligne qu’un élevage d’insectes émettrait 10 à 100 fois moins de gaz à effet de serre qu’un élevage de porcs.
4 Un accident du travail au bout de l’orgasme
Ce 17 mai, la cour d’appel de Paris a été sollicitée pour trancher une question particulièrement épineuse : l’arrêt cardiaque d’un salarié intervenu en mission de déplacement professionnel vers 22 h, après avoir eu une relation sexuelle avec une femme rencontrée le soir, constitue-t-il un accident du travail ? Et la réponse fut positive ! Pour justifier sa décision, la cour d’appel s’est basée sur l’article L411-1 du Code de la sécurité sociale : « Est considéré comme accident du travail, quelle qu’en soit la cause, l’accident survenu par le fait ou à l’occasion du travail à toute personne salariée ou travaillant, à quelque titre ou en quelque lieu que ce soit, pour un ou plusieurs employeurs ou chefs d’entreprise. » L’employeur ne pouvant pas fournir l’emploi du temps précis du salarié – et donc la preuve qu’il avait « interrompu sa mission » –, celui-ci se trouvait donc « dans la sphère de l’autorité de l’employeur ». Il s’agit alors bien d’un accident du travail.
5 Trouver son « ikigai » pour se sentir bien
Trouver un job épanouissant, rémunérateur et utile à la société, est-ce possible ? Oui, grâce au Japon et au concept de l’ikigai. Traduit en français, cela donne un mélange entre « joie de vivre » et « raison d’être ». Pour trouver son ikigai, il faut mener une réflexion sur soi et se poser quatre questions essentielles : Qu’est-ce que j’aime faire ? Pour quoi suis-je doué ? Pour quoi puis-je être payé ? De quoi le monde a-t-il besoin ? Les différentes réponses devraient ainsi dessiner la carte des métiers faits pour vous.
6 Le gadget parfait pour impressionner les collègues
Zoom sur une lampe globe terrestre magnétique
7 Les bons comptes fontnt les bons lundis
Selon une étude menée par Régions Job, 83 % des salariés interrogés estiment que « parler salaire » est tabou avec leurs collègues.