Les fantômes, des stars d’enfer
Le musée départemental des arts asiatiques est hanté par l’exposition « Enfers et fantômes d’Asie »
Après avoir envahi les galeries du musée du Quai Branly, l’épouvante asiatique sème l’effroi à Nice
Ce sont les galeries du musée du Quai Branly que ces créatures hantent d’ordinaire, et c’est aussi le musée parisien qui les avait réunies pour l’exposition « Enfers et fantômes d’Asie », présentée en 2018.
Sur des estampes, des peintures ou sur des bandes passantes, l’univers de l’épouvante asiatique tourmente désormais – depuis fin août et jusqu’au 30 novembre – le musée départemental des arts asiatiques, à Nice. Cent quatre-vingts oeuvres et treize extraits de films d’horreur sont présentés dans cette exposition aux supports multiples, qui propose même une chasse aux fantômes en réalité augmentée.
C’est que les croyances et l’imaginaire asiatiques (l’exposition se concentre sur la Chine, le Japon et la Thaïlande) sont peuplés de figures effrayantes, de vampires, de femmes-chat et autres esprits malveillants. Un univers méconnu à découvrir en visite libre ou guidée, et à enrichir de visites-lectures ou d’ateliers (origami, stop motion…).
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