La « J-horror », porteétendard d’un cinéma
Le cinéma d’horreur japonais, popularisé dans les années 1990, met en avant la figure du yûrei (lire plus bas), mais traite aussi de phénomènes paranormaux, de chamanisme ou de possession. Pas de projections de sang, mais une tension psychologique dont ceux qui ont vu Ring (1998), le film le plus connu de la J-Horror, ou son remake américain, se souviennent encore.