Un réseau professionnel, ça se… travaille !
Les opportunités d’une carrière découlent de notre travail, mais aussi de notre réseau. On aurait quatre fois plus de chances d’obtenir un emploi dans une entreprise si on y connaît déjà quelqu’un( !
L’importance d’un bon réseau
84% des actifs français jugent essentiel d’avoir un réseau professionnel, et ce chiffre monte à 93% pour la génération Z (dont 61% a déjà obtenu un stage ou emploi par ce biais)( Construit par le lieu où l’on a grandi, les milieux scolaires fréquentés et les entreprises par lesquelles on a transité, le réseaun’esttoutefoispastrèségalitaire. En France, les personnes ayant étudié dans une université prestigieuse ont par exemple 1,5 fois plus de chance de construire un réseau solide que les autres. 73% estiment que d’autres ont plus d’opportunités grâce à un réseau plus conséquent. En offrant à tous un accès égalitaire face aux connexions professionnelles, LinkedIn a changé la donne.
LinkedIn : réseauter au quotidien
Du cercle proche aux anciens camarades en passant par les professeurs, maîtres de stage, etc, il est important d’entretenir son réseau existant au plus tôt. Selon Esther Ohayon, directrice de la communication LinkedIn France, il « peut aider à trouver un emploi ou débloquer de nouvelles opportunités ». Elle conseille de visiter l’onglet “offres d’emplois” - pour voir qui recrute dans son réseau proche et élargi, ou encore d’explorer l’espace “anciens élèves” de la page LinkedIn de son école pour se reconnecter à ses anciens camarades ou professeurs. Par ailleurs, si vous avez ajouté vos expériences ou des entreprises sur votre profil LinkedIn, il est possible de retrouver d’anciens collègues avec lesquels vous pouvez vous connecter sur la page “Mon réseau” ou en utilisant la fonction de recherche. Mais privilégiez la qualité et la cohérence à la quantité ! « Votre réseau LinkedIn ne se résume pas à un nombre de connexions. L’important est que vos relations apportent une valeur ajoutée à votre réseau, et inversement », assure Esther. Vous aurez ainsi accès à des contenus pertinents. Soyez (pro)actif en participant aux conversations dans votre fil d’actualité, réagissez aux posts, car « créer du contenu et échanger aide à sefaireremarquer » ajoute-t-elle. Enfin, faites preuve d’audace ! 40% de ceux disposant d’un réseau pro n’osent pas le solliciter( Demander à vos relations de vous présenter est pourtant un excellent moyen d’élargir votre réseau !
Tristan Lopin en chef de cabine, Brahim Bouhlel en steward, Camille Chamoux en hôtesse de l’air et Doully en patronne de la compagnie aérienne Flywingz. L’équipe d’acteurs et d’auteurs sent un peu moins la testostérone qu’à l’heure de H, et ça se voit à l’écran. Les personnages féminins gagnent en complexité et les blagues se libèrent de leurs relents misogynes.
UNE SITCOM À L’ANCIENNE.
Terminal reprend les codes historiques de la sitcom à l’anglo-saxonne : un décor unique, des épisodes d’une vingtaine de minutes et un tournage devant un public dont on capte les rires. Un procédé un peu désuet en France qui renvoie plutôt à Hélène et les Garçons qu’à des oeuvres de qualité. Quelques instants de grâce plus tard, Terminal fait disparaître l’arrière-goût d’anachronisme donné par les rires du public. Comme pour H, une grande liberté a été offerte à des comédiens grisés par l’ambiance du huis clos.
DES VANNES SURRÉALISTES.
Certaines situations offertes par Terminal ont un véritable potentiel culte. « Les textes étaient écrits au cordeau mais laissaient place à l’improvisation des acteurs, nourris par l’enthousiasme du public », expliquent les coauteurs Jamel Debbouze et Mohamed Hamidi. Et la magie opère encore.