Il faut sauver le potager du roi
Arbres mourants, murs décrépits, changement climatique... Confronté à de nombreux défis, le potager du roi, site d’exception créé près du château de Versailles à la demande de Louis XIV, s’est mis en quête de mécènes. Dans ce jardin à la française, classé monument historique en 1926 et inscrit par l’Unesco au patrimoine mondial de l’humanité, sont cultivées plus de 460 variétés fruitières et presque autant de variétés légumières, allant de l’impressionnant
2
Le bébé hippopotame tient la chandelle Dans un couple, souvent, on fait les choses à deux. Mais il semblerait que la petite Fiona, le mignon bébé hippopotame du zoo de Cincinnati, n’ait pas intégré ce principe. Derrière un hublot, le petit mammifère s’est incrusté inopinément sur la photo des fiançailles d’un couple. Elle était au premier rang de la scène romantique et ce photobombing l’a rendue célèbre. Sur son compte Instagram, le mari a posté : « Nous sommes si heureux que Fiona ait été là lors de ce jour spécial. » potiron galeux d’Eysines à la poire d’ange, du concombre à confire à l’arbre à tomates. « C’est un lieu de production et un lieu de promenade, un lieu de transmission, autant qu’un lieu de découverte », résume le responsable du potager, Antoine Jacobsohn. Pour l’agronome, on n’est pas ici « face à l’urgence de type ouragan ou tremblement de terre ». Mais « il faut y réfléchir maintenant. Nous avons 40 % de nos arbres à remplacer. »
3
Un collégien en stage d’observation à l’Elysée Le stage de troisième… Souvent une galère à dégoter pour les collégiens. Pas pour Matthieu. Inscrit au collège Saint-Louis, à Auray (Morbihan), il a dégoté un stage d’observation à l’Elysée, rapporte Ouest France. Il a décidé, sur un coup de tête, d’écrire à Emmanuel Macron en juin. La réponse est arrivée par courrier et surprise : le voilà accepté pour une période d’observation au sein du service intendance de l’Elysée, à Paris. Pas commun.
4
Les étudiants chinois n’auront plus d’absences Les étudiants chinois ne pourront plus déserter la fac. Un professeur chinois a décidé de les soumettre à la reconnaissance faciale pour combattre l’absentéisme, rapporte China Daily. Sur le réseau social chinois Weibo, les réactions des utilisateurs amusés et un poil indignés ont fusé. Trois cents élèves sont pour l’instant concernés.