«Les institutions sont victimes de leur temps»
L’OMS paie aussi son époque, entre réseaux sociaux se méfiant des institutions et matraquages médiatiques de plusieurs autres sources. Une explication, mais en aucun cas une excuse : « C’est même tout le problème, déplore Odile Ambry. Les institutions sont victimes de leur temps et ne savent pas s’y adapter. »