Ils sont tombés sur un os à Dublin
Penchés sur un enchevêtrement de fils de fer et d’os au musée d’Histoire naturelle de Dublin, des spécialistes tentent délicatement de démonter deux squelettes de baleines. Car le musée irlandais entame un vaste projet de rénovation de 15 millions d’euros. Et pour restaurer la verrière, il va falloir décrocher les squelettes des cétacés fixés là à la fin du XIXe siècle et au début du xxe. Pour cette tâche, deux spécialistes des Pays-Bas travaillent de concert avec l’équipe locale, étiquetant
2 Un ragondin trolle le Gers
En plantant ses dents dans le réseau de fibre optique jeudi, un ragondin a créé une panne de téléphonie et d’Internet chez près de 700 abonnés situés autour de Nogaro, dans le Gers, rapporte La Dépêche. Il a ainsi coupé du monde numérique neuf communes pendant deux jours. Les techniciens de maintenance d’Orange ont dû rechercher la panne sur une ligne de 14 km. Après avoir bataillé plusieurs heures, ils ont fini par découvrir la source du problème. Et surtout sa cause, un ragondin, donc. La ligne a fini par être rétablie.
9 Nos internautes ont du talent
avec précision chaque os pour qu’il soit facilement remis en place. « C’est un peu comme travailler sur un puzzle », plaisante Nigel Monaghan, chargé de la collection d’animaux empaillés. Au total, le démantèlement durera près de trois mois.
Le travail en lui-même s’effectue à un rythme étrange, constitué d’interminables heures passées à élaborer des stratégies, auxquelles succèdent quelques stressantes minutes de manipulation aux enjeux cruciaux.
3 Vous reprendrez bien un verre de vin de caca?
La bonbonne d’un liquide jaunâtre domine la table d’exposition et vole la vedette au gin aux fourmis rouges ou autre vodka au scorpion : le vin de caca est le joyau de l’exposition sur les alcools répugnants, proposée pendant trois mois au musée de la Nourriture dégoûtante de Malmö, en Suède. Les visiteurs se distraient de la découverte des différents alcools : expérimentaux, comme une bière écossaise à 55 % vendue dans un écureuil empaillé ; de production plus importante, comme le Fernet Branca, un vin amer italien ; ou de la bière aux testicules de baleine islandaise. Tchin !
4 Lorie Pester sur un air maternel
Lorie Pester a révélé vendredi, sur Instagram, avoir accouché récemment, dans le plus grand secret. La chanteuse et comédienne, âgée de 38 ans, aurait donné naissance à une fille au mois d’août, d’après Closer.
5 Faites une offre qui ne pourra pas être refusée
Une des premières versions du script du Parrain fait partie des nombreux objets ayant appartenu au magnat d’Hollywood Robert Evans qui feront l’objet d’une vente aux enchères organisée par Julien’s Auctions, le 24 octobre. Le document, daté du 10 août 1970, comprend notamment des notes manuscrites sur le casting. Le script est estimé entre 2 500 et 3 000 €.
6 Une balade au poil contre les dangers à vélo
Une cinquantaine de cyclistes naturistes ont pris part à une « cyclonue », dimanche à Rennes. C’est une promenade dans le plus simple appareil pour alerter sur la vulnérabilité des usagers du vélo et délivrer un message pour la planète. La manifestation, organisée par la Fédération française de naturisme, avait reçu l’autorisation de la préfecture et a dû éviter l’hypercentre.
7 Ça soigne comme une vache qui pisse
Un acteur vedette de Bollywood, Akshay Kumar, a confié boire chaque jour de l’urine de vache, à laquelle un nombre croissant d’Indiens attribuent des vertus thérapeutiques, y compris contre le coronavirus. Aucune étude scientifique complète n’a validé ces propriétés curatives présumées.
8 Des cristaux qui ne laissent pas de glace
Des archéologues ont procédé la semaine dernière à une fouille d’urgence à plus de 2800 m d’altitude dans les Alpes suisses. Leur but? Préserver des vestiges laissés par des chasseurs de cristaux il y a près de dix mille ans et découverts après la fonte d’une couche de glace en 2013. Le site se trouve sur le Brunnifirm, un glacier de l’Oberalpstock. Le relief et les conditions très difficiles avaient jusque-là empêché les scientifiques de faire les fouilles.
Un mannequin ne prouve pas 1 0 que le Covid-19 est un complot
Et si la preuve que la pandémie de Covid-19 n’était qu’un vaste complot destiné à effrayer la population reposait finalement sur un simple mannequin de plastique? C’est en tout cas ce que prétend prouver un montage photo relayé sur Facebook, montrant un médecin, masqué, visiblement en train de soigner… un faux corps humain allongé sur une table, avec la « bouche » intubée.
Or, si ces images sont authentiques, elles sont sorties de leur contexte puisqu’elles sont en réalité tirées d’une vidéo pédagogique, publiée par un hôpital américain. Cette dernière montre, à l’aide du mannequin, comment les respirateurs artificiels sont censés aider à traiter les patients atteints du coronavirus. Une recherche sur YouTube, à partir du titre figurant en haut de la première capture d’écran (« New York coronavirus cases surge – hospitals strugg [le] »), permet de retrouver, notamment, la scène de la manipulation du mannequin. Elle a aussi été utilisée dans un reportage de la chaîne britannique Channel 4 News, mis en ligne le 31 mars 2020.