Une clé pour ouvrir chaque coeur
La capitale alsacienne va encore réinventer la Saint-Valentin. Et ouvrir la fête des amoureux à tous, jusqu’au 19 février dans le cadre de « Strasbourg mon amour ».
Un amour sans stigmatisation. L’hôtel du département accueille l’exposition « Les amours universelles » jusqu’au 3 mars, regroupant les photos de Jean-Claude Durmeyer, qui saisit l’amour entre personnes handicapées, et Olivier Ciappa, qui avait mis en scène des célébrités lors du débat sur le mariage pour tous. Il sera aussi question de triangle amoureux jusqu’au 15 février avec la pièce Erich von Stroheim au TNS et d’hommage au couple franco étranger le 14 février au Golden Gate Bar.
Un amour de jeunesse. Le 12 février, la « Baby-boum » revient au « Café des amours », sur le dancefloor duquel les moins de 11 ans sont invités à venir se trémousser déguisés. Les 8-12 ans pourront participer à un atelier de fabrication de tila au Château Vodou, sorte de poche cousue contenant un charme d’amour, le 15 février. Quant aux plus âgés, ils pourront se rendre à la conférence « Les ados, leurs amours, leurs emmerdes » le 13 février au cinéma Star.
VUn amour solo. Ceux qui ont du mal à digérer leur rupture apprécieront de voir qu’ils ne sont pas les seuls : l’hôtel Sofitel fait un focus sur l’amour à Hollywood et les divorces de stars le 15 février, celui de la Cour du Corbeau s’intéresse à l’histoire « foireuse » entre Gainsbourg et Bardot le 17 février. Les célibataires qui préfèrent s’amuser peuvent se rendre à la soirée « Oh oui » du Wawa le 11 février : on s’y marie pour de faux avec qui on veut. Et comme à Vegas, Elvis officie.