Les drôles de profils de « L’amour est dans le pré »
« 20 Minutes » présente en exclusivité deux candidats de « L’amour est dans le pré »
Prêts à faire battre des coeurs à travers toute la France (et à en briser probablement), les nouveaux agriculteurs et agricultrices de « L’Amour est dans le pré » débarquent sur M 6. Ce lundi à 21 h, la chaîne diffusera la première série de portraits de celles et ceux qui tenteront de trouver l’amour au cours des prochains mois, alors qu’on sait déjà qu’un ostréiculteur gay fait partie du casting. 20 Minutes vous propose de découvrir en exclusivité deux candidats de cette 13e saison : Samuel et Thierry.
Amoureux de la nature
Samuel est « celui qui vient de loin et qui marche nu-pieds derrière l’ours ». Il ne s’agit pas d’un épisode méconnu de « Friends », mais du nom indien de Samuel, 40 ans, éleveur de vaches laitières (bio), dans la région NouvelleAquitaine. Car oui, l’un des beaux gosses de cette nouvelle saison a vécu un an dans une forêt avec des Indiens au Canada, a été « insoumis de l’armée » en France, a vécu un naufrage en plein Triangle des Bermudes… Bref, Samuel est un aventurier, un vrai. Un amoureux de la nature aussi, un peu sauvage et solitaire. Surtout, il est passionné par son métier et adore les produits laitiers (les intolérantes au lactose devront passer leur chemin). Son idéal féminin ? L’actrice Pauline Lafont. Plus largement, l’éleveur rebelle aimerait rencontrer une femme de plus de 1,75 m – c’est précis, oui –, sportive, plantureuse et non fumeuse, à la peau et aux cheveux plutôt clairs. Vous êtes le sosie de Pauline Lafont, vous aimez les vaches, le lait, et votre coeur brûle de trouver l’amour ? Vous savez ce qu’il vous reste à faire. Dans un tout autre registre, voici Thierry le timide. Du haut de ses 38 ans, Thierry est éleveur d’adorables vaches allaitantes dans la région Occitanie. Dans son portrait, Karine Le Marchand le décrit comme « un vrai gentil, toujours avec le sourire ». De notre côté, nous n’avons qu’un mot à la bouche pour le qualifier : « choupinours ». Célibataire depuis une dizaine d’années, Thierry recherche l’amour, le vrai, et ne désespère pas d’être papa un jour. Son idéal féminin ? Contrairement à « celui qui vient de loin et qui marche nu-pieds derrière l’ours », Thierry n’a pas de critères particuliers. A tel point que si ses prétendantes oublient de mettre leur photo dans leurs courriers, l’éleveur ne leur en tiendra pas rigueur, car ce qui compte, ce sont les mots. Choupinours, on vous dit.