Une femme partage sa vie avec 480 chats et 12 chiens
Plus d’une dizaine de chats et de chiens se disputent l’attention de Maryam AlBalouchi pendant qu’elle distribue des friandises sur un lit dans sa maison, à Mascate, la capitale d’Oman. Malgré les plaintes des voisins et les dépenses croissantes, cette ancienne fonctionnaire à la retraite de 51 ans a accumulé quelque 480 chats et 12 chiens. « Je trouve que les animaux, en particulier les chats et les chiens, sont plus fidèles que les humains», explique-telle pendant que des petits félins sautent
2 La pouponnière des dents de la mer
Un endroit idéal pour bien grandir. Le mégalodon, ancêtre géant du grand requin blanc, parquait sa progéniture dans des pouponnières naturelles d’eaux chaudes et peu profondes, pour lui permettre d’atteindre sa taille d’adulte à l’abri des prédateurs, selon une étude parue mercredi. Aujourd’hui, plusieurs familles de requins ont elles aussi recours à cette stratégie de reproduction dans des zones protégées, où la nourriture est abondante. En diminuant la mortalité au stade juvénile, elle augmente la viabilité des populations adultes et joue donc un rôle clé dans la survie d’une espèce menacée.
9 Nos internautes ont du talent
joyeusement sur un griffoir. Orpheline depuis son plus jeune âge, Maryam AlBalouchi a agrandi sa petite ménagerie au fil d’une décennie.
Elle dit s’identifier à ses compagnons à fourrure, dont beaucoup ont été sauvés d’une vie difficile dans la rue. Pays du Golfe réputé pour ses montagnes époustouflantes et ses vallées pittoresques, Oman a connu une augmentation du nombre d’animaux errants et abandonnés ces dernières années, selon la presse locale.
3 En Bosnie, une pyramide attire Novak Djokovic
Semir Osmanagic, homme d’affaires et explorateur passionné par les civilisations anciennes, le proclame : la Bosnie a une «pyramide plus grande que celle de Khéops» en Egypte. Ce qui est en réalité une colline boisée qui domine le village de Visoko, près de Sarajevo, attire de nombreux visiteurs persuadés qu’ils seront ressourcés, voire guéris, par son énergie mystérieuse. Parmi eux, la star du tennis, Novak Djokovic y voit lui un «paradis sur Terre».
4 Une fosse bonne idée au Danemark
Dans un charnier à l’ouest du Danemark, des cadavres de visons remontent à la surface sous l’effet des gaz de putréfaction. Le phénomène s’est produit sur un terrain militaire, dans un des charniers improvisés pour enterrer la masse impressionnante d’animaux euthanasiés en toute hâte pour lutter contre le Covid-19, selon des images diffusées par la télévision publique DR.
5 Un nouvel épisode d’«X-Files» excite les US
Un mystérieux « monolithe » de métal a été découvert dans un désert de l’ouest des Etats-Unis, enflammant l’imagination des passionnés d’ovnis et des fans de Stanley Kubrick dans le monde entier. Le bloc triangulaire étincelant, qui dépasse de plus de 3,5 m du sol rougeâtre du sud de l’Etat de l’Utah, a été déniché par des responsables locaux ébahis qui survolaient la zone pour compter les spécimens de mouflons.
6 Varsovie se lance dans le grand bain
Et plouf. La Pologne vient d’ouvrir la piscine la plus profonde du monde, à côté de Varsovie. Située à Mszczonow, ce nouveau bassin au record mondial est profond de 45 m et contient des grottes et même une épave de bateau.
7 Confiné dans son bateau, il se la coule douce
Ancien navigateur en solitaire sur les océans du monde, un quidam héraultais, Jean-Michel Bonnenfant, 72 ans, est confiné dans son voilier depuis le mois de mars, à quai, dans le port de Sète (Hérault), en raison de l’épidémie de coronavirus. Et le vieil homme semble s’en accommoder : « Finalement, c’est très confortable : j’ai l’électricité et le chauffage, je peux sortir me promener et discuter avec mes voisins. »
8 Une nouvelle espèce préhistorique bizarre
Le fossile d’une créature ressemblant à un « toucan avec des dents de lapin », ayant vécu il y a 68 millions d’années, a été découvert, selon une étude publiée mercredi dans Nature communications. 1 0 Attention, le protocole sanitaire dans les écoles a évolué
Les écoles élémentaires auraient-elles tendance à sous-évaluer le nombre de cas contact observés parmi leurs élèves lorsque des cas positifs au coronavirus sont confirmés au sein de certaines classes ? Un e-mail (anonymisé) aurait été envoyé par un établissement à des parents d’élèves de CM2 pour les informer qu’« un élève de la classe que fréquente également [leur] enfant a été testé positif [au] Covid-19», mais que, «dans cette situation précise, les enfants de la classe ne sont pas considérés comme “cas contact” et n’ont donc pas à être éloignés de l’école. » Contactée par 20 Minutes, Dominique, l’internaute ayant partagé le courriel signé de l’école primaire où est scolarisée sa petite-fille, se dit «très en colère» depuis sa réception, le 16 novembre, et fait face à des consignes sanitaires qu’elle juge «contradictoires». Mais la décision prise par l’établissement est, de fait, conforme au protocole sanitaire en vigueur dans les écoles depuis le nouveau confinement, consultable sur le site de l’Education nationale. Celui-ci prévoit que les élèves ou enseignants ayant côtoyé une personne positive au Covid-19 au sein de l’établissement ne sont pas considérés comme cas contacts dès lors que le port du masque était respecté par toutes les personnes concernées. Alexis Orsini
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