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CHRISTOPHE­R FORBES

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Le milliardai­re américain, grand donateur au Louvre et vice-président du groupe de presse Forbes, préside la Biennale des Antiquaire­s. ———

Pourquoi avoir accepté d’être l’ambassadeu­r de la Biennale ? Parce que deux am me l’ont demandé : Dominique Chevalier ex-président du Syndicat national des antiquaire­s, ndlr et Henri Loyree (qui, l’année dernière, présidait la Biennale). Henri Loyree a un tel charme qu’on ne peut rien lui ref„er ! J’ai hésité à m’engager. En tant que président de l’American Friends of the Louvre, je ne voula pas fâcher le chef de l’établ sement, j’ava besoin de l’accord de Jean-Luc Martinez. En France, le monde de l’argent et celui des m„ées n’a pas toujours fait bon ménage, contrairem­ent aux États-Un . En quoi consi e votre rôle ? Je pensa qu’il serait décoratif, ma non, ils m’ont fait travailler ! Ma première initiative a été d’inviter les organ ateurs de la Biennale à la conférence des Forbes Global CEO à Jakarta. Je leur ai conseillé d’apporter des milliers de cartes de v ite... Ces entreprene­urs asiatiques, fort riches, pourraient inve™ir dans l’art. Par ailleurs, j’ai organ é une rencontre dans un club de New York, entre mes am , des colležionneurs et des marchands de la Biennale. Quelle image avez-vous de la Biennale ? La première fo que j’y su allé, elle était inaugurée par l’épo„e du président de la République. J’ai été impression­né. On n’imagine pas la Fir™ Lady ouvrir le Winter Antiques Show à New York.

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