VIVA CRISTO REY!
Et pourtant, bizarrement, rien sur ce qui d’un simple point de vue folklorique (des hommes à cheval ressemblant à Villa ou Zapatta, moustachus, bottés, coiffés de larges sombreros, revolvers à la ceinture, cartouchières barrant leur poitrine, lassos, fusils, disons tout l ’ a t t i r a i l et l a panoplie du révolutionnaire mexicain…), aurait dû retenir l’attention non seulement des historiens mais aussi des générations d’intellectuels romantiques prompts à s’enflammer pour toute grande rébellion dans le monde. L’explication