« MON PETIT SUICIDE »
Par ailleurs, elle ne fait pas mystère de sa boulimie de lectrice (elle lit un livre par jour : « C’est ma consolation et mon petit suicide »), longtemps attirée par le dépouillement d’un Beckett, d’un Borgès et surtout d’un Kafka, l’un de ses « maîtres ». Quant à la question des femmes et de l’écriture, Susan Sontag considère « la culture française misogyne à un point qui défie l’entendement » ; l’un de ses vieux combats