LE BUDGET, C’EST LE NERF DE LA GUERRE…

À LA RENTRÉE, LES FACTURES, COMME LES ACHATS INCONTOURNABLES, VOLENT EN ESCADRILLES. LE REGARD RIVÉ SUR LE COMPTE EN BANQUE, ON TENTE TANT BIEN QUE MAL DE « PRIORISER » LES DÉPENSES. CHEZ AVANTAGES, CREUSER LE SUJET SANS CREUSER

LE DÉFICIT EST DEVENU UNE SPÉCIALITÉ. PRESQUE UN EXERCICE DE STYLE. AU FIL DES PAGES, NOUS AVONS

DONC RATISSÉ TOUS LES BONS PLANS SUSCEPTIBLES DE NOUS RENDRE EUPHORIQUES MALGRÉ LA CRISE. SE PRIVER DES TENDANCES MODE SOUS PRÉTEXTE D’UNE CARTE BLEUE EN BERNE ? PAS QUESTION. SUFFIT, DIXIT LA JOURNALISTE EXPÉRIMENTÉE, DE RESSORTIR UN BASIQUE DE SON PLACARD (CHEMISE BLANCHE, JEAN DÉLAVÉ, JUPE CRAYON…) ET DE

DÉNICHER LA PIÈCE QUASI BRADÉE QUI EMPORTERA LA TENUE (P. 34). IDEM EN DÉCO, OÙ RAFRAÎCHIR SON INTÉRIEUR SANS SE METTRE SUR LA PAILLE SUPPOSE DE REPÉRER MATÉRIAUX ET ACCESSOIRES DESIGN AU JUSTE PRIX (P. 134). DANS LE DOMAINE DE LA BEAUTÉ, ON JOUE DES APPLIS FUTÉES QUI PROPOSENT RISTOURNES OU INDIQUENT LES HAPPY HOURS DANS

LES SALONS ET INSTITUTS (P. 66). ENFIN, POUR ÉVITER DE SE FAIRE PIÉGER, AVANTAGES A AUSSI TRAQUÉ LES FAUSSES BONNES AFFAIRES (P. 49). HISTOIRE D’ABORDER

LA RENTRÉE LA MINE CONQUÉRANTE ET L’ESPRIT LÉGER.