ÉCOLO c p’eosstsible
Le secteur du numérique est déjà responsable de 4 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre, et ça risque d’empirer. Alors, on agit !
Trier son e-courrier.
60 % des mails présents dans nos boîtes ne sont jamais lus. Or, en un an, le stockage d’un seul mail génère grosso modo 10 g de CO . Nettoyage obligatoire : on vide sa 2 corbeille tous les soirs (spams compris). Et on se désabonne des newsletters qui ne nous intéressent plus (on peut utiliser Cleanfox, un outil qui nous aide à faire le ménage rapido : cleanfox.io). Cibler ses recherches.
9,9 kg de CO par internaute et par an, 2 juste pour chercher des infos via Google, ça fait cher. Alors, on choisit bien ses mots-clés et on tape directement l’adresse du site dont on a besoin si on la connaît (on peut l’enregistrer dans ses favoris) et on utilise son historique de navigation pour retourner sur les pages. On peut aussi utiliser le moteur de recherche Ecosia qui, au moins, finance des programmes de reforestation avec une partie de ses bénéfices publicitaires (info.ecosia.org). Passer en basse déf.
Les vidéos en ligne représentent
60 % du flux mondial de données et sont responsables de près de 1 % des émissions mondiales de CO . Regarder une vidéo 2 sur son téléphone correspond à la consommation annuelle d’un frigo… Heureusement, on peut alléger la facture en choisissant l’option basse qualité (cliquer sur la petite roue en bas à droite des vidéos sur YouTube et Facebook). À lire : « La Face cachée du numérique », sur ademe.fr