RÉTRO CERTES, MAIS PAS DÉSUET. IL N’A FALLU QU’UN COUP DE POUCE POUR REDONNER VIE AUX LIEUX
UNE VIEILLE ENSEIGNE de menuiserie, posée sur une console déjà installée, s’est trouvé une place de choix. Pichet blanc (Rêves d’Argile). Théière et sucrier chinés (chez Jean-Charles Ribes).
À CÔTÉ DU SALON GRIS-BLEU, comme en contraste, les murs du bureau sont couverts de rouge Radicchio (Farrow & Ball), qui fait écho aux tonalités des carreaux de ciment d’origine.
DANS L’ENTRÉE, la console en acajou à pattes de lion sert à poser les trouvailles de Corinne : chandelier d’église, cloche Napoléon III… Les carreaux de ciment sont aussi d’époque.
LE GOÛT DE CORINNE pour la mise en scène et l’accumulation s’illustre dans tous les recoins : cartons à chapeau, cloches Napoléon III abritant des oeufs faits maison…
TEA TIME. Tasse en papier mâché, réalisée à partir d’un papier peint du XIXe siècle et d’un manuscrit du XVIIIe siècle (Baucis & Philémon).
SUR LA TABLE TRAVAIL
LEUSE, les faïences de Creil à effet marbré côtoient des savons emballés dans un beau papier de pâtissier. ATTENTION FRAGILE ! Un bouquet de fleurs en dentelle chinée, au pistil issu d’une ancienne couronne de mariée, filtre la lumière naturelle. Au milieu, des éventails écran décorés d’un manuscrit du XVIIIe siècle (Baucis & Philémon). ENVIE DE LÉGÈRETÉ ? Chaussons d’enfant en dentelle ancienne empesée (Baucis & Philémon).