Infos du monde

Parmi les nombreuses destinations qu’il propose via son agence ChassAtlas, Gilles Bultel avoue avoir un faible pour la Biélorussie, où il organise des chasses depuis de nombreuses années. La dernière saison de chasse au brame lui a d’ailleurs donné raison puisqu’elle s’est clôturée avec une pluie de médailles : 4 médailles d’or et 9 d’argent sur la trentaine de cerfs qu’il a fait prélever et 2 médailles

d’or et 4 d’argent sur la quinzaine d’élans également tirés lors du rut.

Et Gilles de préciser : « La Biélorussie fit longtemps figure de pays isolé et sauvage, refuge des animaux et des hommes, conservatoire d’une faune et d’une flore reliques. Aujourd’hui c’est avant tout l’un des rares pays européens où il est possible de pratiquer sa passion dans des milieux totalement naturels et sauvages.

Maintenant, il convient de savoir que seuls les parcs nationaux sont des territoires à disposer de la logistique adéquate, efficace en hommes et en matériel et à être dotés d’un cheptel gibier important. C’est pourquoi nous n’organisons des chasses que sur eux seuls. »

Gilles poursuit : « Se rendre en Biélorussie, à 3 heures de vol de Paris, c’est aussi rechercher une authenticité de territoire,

c’est se confronter à des gibiers particulièrement sauvages et méfiants, c’est côtoyer des espèces disparues depuis longtemps de nos contrées ou interdites de tir ailleurs. C’est en outre accepter aussi des hommes de chasse sans artifices ayant une connaissance aiguisée de la nature. Une nature où il n’est pas rare de rencontrer également loups, lynx, grands et petits tétras, gélinottes, bisons d’Europe etc. »

La saison du rut est incomparable pour sélectionner un grand trophée. À un peu plus de trois heures de Paris, les parcs nationaux biélorusses offrent de réelles possibilités de chasse les grands cervidés : cerfs et élans. Des animaux dont la qualité des trophées est indéniable, comme le montrent ces clichés.